Pour attirer plus d'étudiants indiens sur le sol français et renforcer les liens entre la France et l'Inde, Emmanuel Macron a annoncé vouloir accueillir 30.000 étudiants indiens d'ici 2030. Si notre pays "bénéficie d'une image très positive", indique Fatiha Kammoussi, attachée de coopération éducative à l'Institut français en Inde, des stéréotypes persistent.
Le 25 janvier dernier, Emmanuel Macron a rencontré le Premier ministre Narendra Modi en Inde. Dès son arrivée, le président de la République a déclaré son souhait d'accueillir "30.000 étudiants indiens pour 2030" en France. À travers cette annonce, il cherche à consolider les relations entre les deux pays. Une nouvelle qui a été bien accueillie par Fabien Chareix, attaché de coopération scientifique et universitaire à l'Institut français en Inde. Si "l'objectif est ambitieux", il estime que "cela placerait l'Inde sur le devant de la scène".
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on part en Inde. Lors de sa visite en Inde, Emmanuel Macron a milité pour renforcer la coopération entre les deux pays. Le président de la République souhaite d'ailleurs accueillir 30 000 étudiants indiens d'ici 2030 en France. Pourquoi cette annonce ? Comment la jeunesse indienne perçoit-elle la France ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Fabien Chareix, attaché de coopération scientifique et universitaire à l'Institut français en Inde et Fatiha Kammoussi, attachée de coopération éducative à l'Institut français en Inde.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen met en avant une initiative solidaire de lycéens du Calvados pour des indiens.
Le climat scolaire se dégrade au fur et à mesure des années, selon les personnels de l'éducation. Pour quelles raisons ? Quelles solutions peut-on apporter aux écoles pour améliorer le bien-être des professeurs et des élèves ? Pour en parler, Loïc Landrau reçoit Céline Attias, fondatrice du cabinet de coaching professionnel "Holiwork" et Claude Lelièvre, historien de l'éducation.
Le musée Zadkine consacre actuellement une exposition à Chana Orloff l’une des sculptrices les plus célèbres de l’École de Paris. Cécilie Champy, commissaire et directrice du musée Zadkine, en parle en deuxième partie.
Dans sa chronique "Vu à l'étranger", Guillaume Buan nous explique pourquoi Donald Trump a peur de la chanteuse Taylor Swift.
"Un enfant se suicide tous les quinze jours pour harcèlement scolaire ou cyberharcèlement. On ne peut plus attendre les prochaines victimes", estime la sénatrice de l'Essonne, Laure Darcos. Pour stopper le fléau, elle suggère de mobiliser "la communauté complète autour de l'enfant, c'est-à-dire les parents, les professeurs, l'établissement" pour comprendre "pourquoi il y a eu cette escalade".
Maman d'une petite fille de six ans, Saliha Aithamou a fait le choix de scolariser sa fille à la maison. L'humoriste se transforme en maîtresse le matin, et suit "un programme cadré". Si, au départ, elle "avait la pression", aujourd'hui, après "l'excellent bilan de sa fille", Saliha Aithamou prend quelques libertés avec le programme scolaire en le réadaptant. Un rôle qu'elle "adore", car elle estime que ce type de pédagogie correspond à la vie d'artiste.
C'est un outil qui a déjà conquis étudiants et professeurs au Ghana. L'application d'e-learning Chalkboard Education fonctionne sans internet. Le principe ? Transmettre les cours par sms pour qu'ils soient accessibles au plus grand nombre. "Notre logiciel a la particularité de fonctionner principalement hors ligne, et de créer des contenus compressés, accessibles sur n'importe quel type d'appareil", explique Adrien Bouillot, fondateur de Chalkboard Education. Implantée à Accra, la capitale du Ghana, cette startup française facilite la vie de nombreux étudiants, confrontés au coût exorbitant de la connexion internet.
Suivre des cours sur un smartphone sans avoir internet, c'est maintenant possible ! Chalkboard Education, entreprise française spécialisée dans le “mobile learning” au Ghana, a révolutionné l'éducation sur le continent africain. Face au coût exorbitant des connexions internet sur le continent, notre invité a conçu une application qui répond aux besoins des jeunes. Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit en plateau Adrien Bouillot, fondateur de Chalkboard Education.
Il propose à ses 3 millions d'abonnés du contenu créatif et décalé. Jean Martinho dresse le portrait du Youtubeur Poisson Fécond dans son "Focus" du jour.
Dans son "Idée derrière la tech", Jeanne Dreyfus dresse le portrait de Michael Hansmeyer, un architecte qui utilise l'intelligence artificielle.
Auteure, humoriste, chorégraphe...Saliha Aithamou est une artiste aux multiples facettes. Elle est l'invitée de Malika Ménard. Sur le plateau de "Souvenirs d'écolier", elle revient sur ses débuts sur scène. De la Roche-sur-Yon, en passant par Bordeaux, Saliha Aithamou évoque son enfance "atypique", sa scolarité et sa relation avec ses frères et sœurs. Maman d'une petite fille de six ans, elle explique pourquoi elle a choisi pour elle l'école à la maison.
Ils sont délégués départementaux de l'Éducation nationale (DDEN) et participent activement aux bien-être des enfants au quotidien. Comment devenir DDEN ? Quelles sont leur rôle et leur champ d'action ? Pourquoi ces bénévoles sont-ils si importants dans le bon fonctionnement de l'école ? Quel rôle jouent-ils auprès des élus ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Martine Deldem, présidente de l'Union départementale DDEN de l'Hérault et Eddy Khaldi, président de la Fédération des DDEN.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen évoque l'Adapta'Box, une boîte à outils dédiée à l'inclusion.
Personne ressource de l'école, le délégué départemental de l'Éducation nationale (DDEN) est un bénévole qui veille au bien-être des enfants. "On nous demande aussi de faire de la médiation, et des conseils d'école", détaille Martine Deldem, présidente de l'Union départementale DDEN de l'Hérault. Comme elle, certains DDEN peuvent également participer à l'élaboration de la carte scolaire.
Le Premier ministre a confirmé l'annonce. Les groupes de niveaux entrent en vigueur cette année. Que peuvent-ils apporter aux élèves ? Comment les professeurs vont-ils devoir s'organiser ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Frédéric Marchand, secrétaire général UNSA (Union nationale des syndicats autonomes) Éducation et Nathalie Beaufrère, professeure des écoles, formatrice à l'association internationale de recherche et d'animation pédagogique (AIRAP) et autrice.
Dans sa chronique "Quoi de neuf sur les réseaux ?", Guillaume Buan nous raconte pourquoi le chanteur Drake fait beaucoup parler de lui.
En fin d'émission, Malika Ménard reçoit l'humoriste Saliha Aithamou pour évoquer ses "Souvenirs d'écolier".