Comment les réseaux sociaux influencent-ils la manière dont nous mangeons ? Quel impact ont-ils sur notre comportement alimentaire ? Clémentine Hugol-Gential, professeure en sciences de l'information, est l'invitée de Virginie Guilhaume pour en parler.
En deuxième partie, on se plonge dans l'histoire d'un conte éco-féministe et queer. Camille Bouvot-Duval, autrice de "Iddu", en dit plus en plateau.
14% des Français sont obèses, selon Santé publique France. Face à cette situation sanitaire plus qu'alarmante, plusieurs parlementaires et membres du gouvernement souhaitent taxer les produits sucrés. Dans une proposition de loi, le député MoDem du Rhône, Cyrille Isaac-Sibille, suggère de taxer les sucres ajoutés dans les plats "ultra-transformés" et de renforcer la taxe "soda". Invité du "Grand JT", il estime qu'il faut "inciter le producteur à baisser le taux de sucre". Selon lui, plus les produits seront "chers" car "sucrés", et moins ils seront vendus.
Taxer les produits sucrés et transformés pour lutter contre la malbouffe, c'est l'un des projets du nouveau gouvernement. Cette proposition, qui s'inscrit dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, fait couler beaucoup d'encre. Qu'en est-il concrètement ? Les produits sucrés seront-ils plus chers dans les rayons ? Est-une bonne initiative pour lutter contre l'obésité ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Cyrille Isaac-Sibille, député MoDem du Rhône et Laurence Jacques, CEO et fondatrice de Ecoxtract.
En deuxième partie, on se penche sur la tournée du climat et de la biodiversité, en pleine Cop29. Serge Planton, responsable scientifique du projet, en dit plus.
Perte de cheveux, de dents, apparition de problèmes cardiaques… Chez les jeunes souffrant de troubles alimentaires, de nombreuses conséquences peuvent survenir, car "le corps se bat contre cette maladie et se met en veille", précise Maria Poblete, journaliste et auteure du livre "Tu peux en sortir ! Anorexie, boulimie, hyperphagie, etc". Elle compare ces troubles alimentaires avec d'autres addictions comme l'alcool.
Comment sortir des troubles alimentaires qui concernent aussi les adolescents ? Maria Poblete, journaliste et autrice, a écrit un livre, "Tu peux en sortir ! Anorexie, boulimie, hyperphagie, etc", pour aider les jeunes à trouver des solutions. Elle est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
À l'occasion de la parution d'une enquête de l'ONG britannique Earthsight dédiée à la fast fashion, Cécile Fournier sort son "Antisèche".
Dans son "Heure de la récré", Cécile nous parle du film "Frères", d'Olivier Casas avec Mathieu Kassovitz. Il est inspiré d'une histoire vraie.
En fin d'émission, on retrouve Candice Anzel pour son "Conseil de famille". Notre coach en parentalité fait un focus sur TikTok, le réseau social préféré des ados.
Plus d'un milliard de personnes dans le monde sont obèses. Parmi elles, 340 millions d'adolescents, et 39 millions d'enfants sont concernés, estime l'Organisation mondiale de la Santé. En France, près d'un étudiant sur cinq ne mangeraient pas à sa faim. Entre pénurie alimentaire et l'inflation, comment mieux manger ? Comment éduquer les jeunes à une alimentation saine, accessible et de qualité ? Quels sont les impacts des produits ultra-transformés sur notre santé ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Stéphane Travert, député Renaissance de la Manche, Margot Billeau, étudiante en diététique et nutrition et en skype Irène Tolleret, députée européenne au sein du Groupe Renew Europe.
Lancée en 1973, l'association "Partage avec les enfants du monde" aide les enfants du monde, les plus démunis, à grandir dans le respect de leurs droits fondamentaux. Yolaine Guérif, directrice générale au sein de l'association, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, on retrouve Malika Ménard et son invitée, Vaimalama Chaves, Miss France 2019. Elle confie ses "Souvenirs d'écolier".
44% des 15-24 ans mangent régulièrement des produits transformés. C'est le constat inquiétant d'une étude menée par Harris Interactive sur "Les Français et l'alimentation quotidienne". Pour développer l'éducation alimentaire chez les jeunes, Olivia Grégoire, ministre déléguée en charge de la Consommation, souhaite lancer un plan national d’éducation alimentaire à l’école. Une initiative saluée par Stéphane Travert, député Renaissance de la Manche, qui estime que cela peut "lutter pour l'égalité des chances".
"Fruits et légumes à l'école" et "Lait et produits laitiers à l'école", sont deux programmes financés par l'Union européenne pour encourager les jeunes à bien manger, souligne Irène Tolleret, députée européenne Groupe Renew Europe. Elle rappelle que l'éducation à l'alimentation passe par des changements "importants" de comportement. Elle estime qu'il faut "arrêter le gaspillage" dès l'école, et "valoriser l'ensemble des produits de saison".
Elle a mis vingt ans, écrit-elle, à sortir de l'anorexie mentale. Cette maladie, qui touche 1,4% des femmes, selon le corps médical, se déclenche le plus souvent à l'adolescence. Quelles solutions peut-on mettre en place pour en sortir ? Comment ce trouble du comportement alimentaire (TCA) se déclenche-t-il ? Ludivine Grétéré, victime d'anorexie mentale, livre son histoire dans un livre bouleversant intitulé "Imparfaite". Elle est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
À l'occasion de la diffusion d'un documentaire sur Arte consacré à l'histoire de l'Ukraine,
Brandon Waret sort son "Antisèche" pour se plonger dans les programmes d'histoire.
Dans son "Heure de la récré", Brandon nous invite à déchiffrer les textes de la bibliothèque de Pompéi.
En fin d'émission, on retrouve Amélie Paris pour ses "Années collège". Notre professeure-documentaliste explique ce qu'est le classement Dewey, utilisé dans les centres de documentation et d'information (CDI).
Dans le ventre de la mère, le bébé découvre déjà les différents goûts et odeurs des aliments. L'alimentation de la mère a donc "un impact" sur cette éducation au goût, comme l'explique Anne Didier-Pétremant, fondatrice de l'association "De mon assiette à notre planète". Lorsque l'enfant grandit, au moment de la diversification alimentaire, vers l'âge de six mois, il peut également développer son palais.
Apprendre à toucher et sentir les textures des fruits et des légumes pour se familiariser au goût, c'est ce que propose la ville de Colomiers, en Haute-Garonne. L'objectif ? Sensibiliser dès la crèche, comme l'explique Audrey Nabonne, responsable de l'école du goût de Colomiers. Pour Anne Didier-Pétremant, fondatrice de l'association "De mon assiette à notre planète", il est essentiel de "soigner la présentation des plats à la cantine" pour "apprécier un aliment".
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on se penche sur l'éducation à l'alimentation et au goût. Quel est le rôle de l'école ? Quelles initiatives met-elle en place pour former le palais des enfants ? Qu'en est-il des parents ? À quel âge le goût se développe-t-il chez les petits ? Pourquoi l'éducation au goût passe-t-elle également par l'éducation au développement durable ? Comment faire aimer les légumes aux enfants ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Anne Didier-Pétremant, fondatrice de l'association "De mon assiette à notre planète" et Audrey Nabonne, responsable de l'école du goût de Colomiers (Haute-Garonne).
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen met en lumière l'approche pédagogique "Cubes et petits pois".