"À qui la faute, si la mixité sociale, dans les écoles publiques, recule fortement ?" C'est ce que dénonce Florentin Letissier, adjoint à la maire de Paris en charge de l’économie sociale, solidaire et circulaire, dans une tribune publiée dans "L'Obs", le 26 février dernier. Sur le plateau du "Mag", il estime que les élus sont responsables de ce manque de mixité sociale dans les salles de classe car "ils ont les outils en main pour permettre d'agir sur la composition sociale des écoles". Florentin Letissier fait notamment référence à la carte scolaire, qui est "normalement tracée de telle sorte que les élèves soient mélangés socialement". Il considère que l'État, qui finance largement l'enseignement privé, doit avoir "des exigences par rapport aux écoles privées en termes de mixité". Pour rappel, les écoles privées sous contrat reçoivent une aide financière de l'État depuis la loi Debré de 1959. En contrepartie, ces dernières doivent respecter les programmes scolaires, accepter des élèves indépendamment de leur origine ou de leurs convictions.
Orientation, citoyenneté, innovations numériques ou encore place de l'écologie à l'école... Chaque jour, Patrice Boisfer et ses invités abordent les initiatives locales déployées partout en France en faveur de l'éducation.
La généralisation des plateformes d'échange numérique a-t-elle permis d'améliorer la relation entre l'école et les familles ? C'est la question que posent les chercheurs Aksel Kilic et Jean-Paul Payet dans leur ouvrage "L'école du like". Aksel Kilic, maîtresse de conférence en sociologie à l'Université Paris-Est Créteil (UPEC), est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
La France fait partie des pays européens où les inégalités scolaires sont les plus fortes. C'est le constat pointé du doigt par l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques). Accompagnement dans les devoirs, différences socio-économiques, disparités régionales... Comment réduire ces inégalités entre élèves ? Comment mieux accompagner tous les enfants vers la réussite scolaire ? Louis Maurin, directeur de l'Observatoire des inégalités, et Pierre Liret, formateur et consultant de la coopérative Coopaname, sont les invités de Virgine Guilhaume pour en parler.
Accompagner et encourager les jeunes dans leur transition vers le monde professionnel, c'est la mission de Florence Meyer, avec l'association "Quokka". Elle en dit plus en plateau en deuxième partie d'émission.
Premier appel à la grève des syndicats de l'éducation, constat après une semaine de "pause numérique", interrogation autour de l'héritage des Jeux paralympiques, une infrastructure des Jeux déjà en service... Shirley Adélaïde fait le tour de l'actualité éducative du 9 septembre 2024.
Elle s'est fait connaître sur YouTube grâce à sa reprise, en français, du titre "Dance Monkey", de Tones and I, écoutée plus de 6 millions de fois. La chanteuse Lisa Pariente est l'invitée de Malika Ménard. Après ses covers originales, diffusées sur ses réseaux, elle a décidé de sortir un EP intitulé "Antidépresseur", le 14 juin 2024. Sur le plateau de "Souvenirs d'écolier", la jeune femme revient sur sa scolarité, ses prochaines dates de concert, ses projets artistiques, et sur ce qui l'a amenée à se lancer sur YouTube.
En Dordogne, un nouvel établissement ouvre ses portes dès septembre. Avec une approche pédagogique alternative, "Les Ricochets" souhaite enseigner à ses élèves "l'accueil" des émotions, souligne Maloue Eon, fondatrice et co-coordinatrice du collège alternative "Les Ricochets". Elle en dit plus sur le plateau du "Mag".
Les Jeux paralympiques de Paris 2024 vont-ils pouvoir améliorer l'inclusion à l'école ? Si les familles et les élèves en situation de handicap souhaitent vivement des améliorations, dans les faits, les infrastructures ne sont pas adaptées, dénonce Coralie Benech, co-secrétaire générale du SNEP-FSU. Sur le plateau du "Grand JT", elle rappelle que "les élèves n'ont pas d'accompagnants d'élèves en situation de handicap (AESH) en cours d'EPS", faute de moyens. Elle explique également qu'il "n'y a pas d'infrastructure, ni de matériel adapté".
En France, avec un million d’élèves concernés en moyenne, le marché du soutien scolaire est en pleine croissance. Sur le plateau de "L'École du futur", Lancelot Gulian, co-fondateur d'"Eliott", présente son application. Dopée à l'intelligence artificielle, cette plateforme souhaite "personnaliser l'accompagnement des élèves selon leurs forces et leurs lacunes", avec "un environnement le plus ludique possible". Objectif ? Permettre à chacune et chacun de progresser dans les 25 matières au programme dont les 8 spécialités proposées au lycée.
L'intelligence artificielle peut-elle réellement transformer le secteur du soutien scolaire ? Les solutions personnalisées, proposées par les applications, sont-elles la clé de la réussite scolaire ? Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit en plateau Lancelot Gulian, co-fondateur de l'application "Eliott", et Camille Bedin, directrice générale adjointe d’Acadomia.
Elle a fondé, à Saint-Denis, un lieu d'accueil et de prise en charge pour les femmes victimes de violences. Dans le "Focus" du jour, Jean Martinho relate le parcours de la gynécologue-obstétricienne Ghada Hatem-Gantzer.
Dans son "Idée derrière la tech", Benoît Grunenwald fait le point sur les principales menaces en ligne à surveiller en cette rentrée scolaire.
Il s'est fait connaître grâce à la troupe du Jamel Comedy Club. Comédien et humoriste, Farid Chamekh a lancé son nouveau spectacle "Génération Z", en 2023. Sur le plateau de "Souvenirs d'écolier", celui qui a grandi à Villars, près de Saint-Etienne (Loire), rêve, depuis son enfance, de cinéma. Aux côtés de Malika Ménard, il évoque son parcours, du stand-up au grand écran, ses relations familiales et revient sur sa scolarité.
"On a assisté à un superbe moment de page de publicité pendant le confinement. Tout le monde s'est remis aux activités manuelles. On a refait son pain, son jardin", insiste Frédérick Mathis, fondateur du réseau d'écoles de la transition écologique (Etre). Sur le plateau de "La Quotidienne", il estime que le travail manuel "permet de se reconnecter" mais également d'investir dans la transition écologique. Il a d'ailleurs fondé le réseau d'écoles de la transition écologique (Etre), qui s'adresse aux élèves, de 16 à 25 ans, en situation de décrochage scolaire.
