Depuis le 24 juin, les élèves de terminale passent le Grand oral. Une épreuve stratégique et très importante puisqu'en voie générale, son coefficient est de 10, en voie technologique, il est de 14. Pour bien se préparer, Johanna Cohen, professeure de théâtre et fondatrice du Cours Anna, propose des séances de coaching. Elle en dit plus sur le plateau du "Grand JT".
S'exprimer et argumenter sur un sujet, sans notes, pendant une dizaine de minutes devant un jury... Voici ce qui attend les élèves pour le Grand oral. Cette épreuve stratégique à coefficient 10 pour les voies générales vient de débuter ce lundi 24 juin, et se tient jusqu'au 3 juillet. Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Johanna Cohen, professeure de théâtre et fondatrice du Cours Anna et Alexandre Labadie, fondateur de l'école du Grand oral.
En deuxième partie, on se penche sur les 70 ans de la mort du mathématicien Alan Turing, figure historique de la Seconde Guerre mondiale. Maxence Collin a écrit un roman graphique à ce sujet. Il en dit plus en plateau.
En fin d'émission, dans sa chronique "Vu à l'étranger", Guillaume Ouattara nous en dit plus sur les fêtes de fin de lycée.
Le bac de philosophie s'ouvre ce mardi 18 juin. Étape importante dans la scolarité d'un lycéen, cette épreuve clôt aussi l'année de terminale. Pourquoi cette discipline est-elle si importante ? Pourquoi les élèves redoutent-ils cette matière ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit Vincent Renault, président de l'association des professeurs de philosophie de l'enseignement public (APPEP), Lev Fraenckel, créateur du compte @SerialThinker et Élisabeth Bargès, titulaire d'un master de l'histoire de la philosophie.
Deux siècles de combat pour la cause des femmes résumés en un seul ouvrage, c'est le pari réussi de l'historienne Françoise Thébaud. Elle parle de son livre "Les féminismes, une histoire mondiale" en deuxième partie.
En fin d'émission, Guillaume Ouattara fait la "Lumière sur" les stages d'observation pour les élèves de seconde, qui débutent ce lundi.
C'est l'épreuve qui effraie de nombreux lycéens chaque année. À 8 heures ce matin, les candidats des filières générales et technologiques ont découvert les sujets de philosophie. Aujourd'hui, dans "La Quotidienne", on passe, nous aussi, l'épreuve de philo en compagnie de notre invité Ivan Taveau. Il a écrit un livre qui mêle philo et manga, intitulé "La philosophie selon Demon Slayer". Il est l'invité d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Le 18 juin 1944, le Général de Gaulle lançait un appel historique aux Français pour libérer la France de l'occupation allemande. Brandon Waret sort son "Antisèche" pour revenir sur cet événement.
Dans son "Heure de la récré", Brandon nous parle d'un robot qui bat le record du monde de Rubik’s Cube.
En fin d'émission, on retrouve Amélie Paris pour ses "Années collège". Notre professeure-documentaliste évoque le brevet des collèges qui se tient les lundi 1ᵉʳ et mardi 2 juillet 2024.
À l'approche des examens, les élèves et les familles peuvent ressentir du stress. Sur le plateau du "Grand JT de l'Éducation", Fanny Jacq, médecin-psychiatre, décrypte les conséquences du stress sur le corps et sur les performances scolaires.
Si les examens ont débuté en mars, le mois de juin reste source de stress pour les élèves. Entre les nombreuses révisions et la préparation des oraux, comment peut-on leur apprendre à gérer le stress et la pression ? Fanny Jacq, médecin-psychiatre et Étienne Porche, co-fondateur des Sherpas, sont les invités de Virginie Guilhaume pour en parler.
Le musée de la Marine à Paris organise un concours d'illustration sur le thème "Quel océan pour 2030 ?". Il est ouvert aux jeunes talents. Axelle Beaussant, responsable communication à la "Fondation de la mer", en dit plus en deuxième partie.
En fin d'émission, dans sa chronique, Guillaume Buan fait la "Lumière sur" le débarquement du 6 juin 1944, à l'occasion des 80 ans de cet événement historique.
Fin 2023, l'ancien ministre de l'Éducation nationale, Gabriel Attal, a annoncé vouloir réformer le brevet des collèges, qui doit entrer en vigueur en juin 2025. Il souhaite "donner une véritable exigence au diplôme national du brevet", en estimant que ce diplôme souffre d'une "dévalorisation des notes" et d'un "affaissement du niveau d'exigence". Tristan Brams, secrétaire fédéral SGEN-CFDT considère qu'"ajouter du poids à cet examen" n'est pas pertinent. Il explique pourquoi.
"Choc des savoirs" et retour à l'exigence... C'est le message du gouvernement pour rehausser le niveau des élèves. Il prévoit d'ailleurs une nouvelle formule pour le brevet 2024. Quels sont les changements à noter pour cet examen ? Qu'en pensent les élèves, les familles et le corps enseignant ? Julien Cahon, professeur des universités et Tristan Brams, secrétaire fédéral SGEN-CFDT sont les invités de Virginie Guilhaume pour en parler.
Alors que le nouveau programme d'éducation à la vie affective et sexuelle s'appliquera dès la rentrée, Clémentine Du Pontavice, autrice et illustratrice, a souhaité démonter les idées reçues sur la sexualité dans son livre "10 idées reçues sur la sexualité : pour une intimité joyeuse". Elle en parle en deuxième partie d'émission.
En fin d'émission, Guillaume Buan sort son "Agenda" pour proposer quelques sorties culturelles à faire en famille.
Le Grand oral, l’une des nouveautés de la réforme du bac, va évoluer en 2024. Les cinq minutes, qui étaient consacrées au projet professionnel de l’élève, seront supprimées. Le candidat devra passer davantage de temps sur le reste de l’épreuve. Pour Jean-Rémi Girard, président du SNALC (Syndicat national des lycées, collèges, écoles et du supérieur), "c’est l’un des gros points noirs de cette réforme, on n’a pas prévu de temps pour préparer le Grand oral".
C'est l'une des nouveautés de cette rentrée scolaire : les épreuves de spécialité, prévues en mars, sont repoussées en juin 2024. Cette annonce, faite par le ministre de l'Éducation nationale, bouleverse le calendrier des lycéens. Est-ce une bonne nouvelle ? Quelles conséquences ces changements vont-ils avoir dans la vie des élèves et des professeurs ? Quelles sont les raisons de ce retour en arrière ? Adrien Misson, référent national lycée général et technologique à l’UNSA (Union nationale des syndicats autonomes) et Jean-Rémi Girard, président du SNALC (Syndicat national des lycées, collèges, écoles et du supérieur), sont les invités de Virginie Guilhaume pour en parler.
Valoriser les pratiques artistiques des plus jeunes, c'est la mission de l'école culturelle "Le bon ton". Claire Wyniecki, fondatrice de cette école, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, retrouvez Loïc Landrau. Dans sa chronique "Lumière sur", il fera le point sur les origines du ballon rond.
Les épreuves de spécialité n’auront plus lieu en mars, mais en juin prochain, a confirmé le ministre de l’Éducation nationale Gabriel Attal le 27 août dernier. "Les spécialités en mars permettaient d’avoir une fenêtre objective pour l’enseignement supérieur", analyse Adrien Misson, référent national lycée général et technologique à l’UNSA (Union nationale des syndicats autonomes). Les écoles post-bac se fondaient sur les notes obtenues lors de ces examens pour sélectionner les candidats dans leurs différentes filières. Une situation "qui ne va plus être possible maintenant", explique-t-il, puisque "seul le contrôle continu sera intégré dans la plateforme Parcoursup". Adrien Misson craint ainsi une "démobilisation des élèves pour les cours", et une pression supplémentaire sur leurs épaules.
Les révisions de dernière minute, "ça ne fait qu'augmenter le stress", insiste Sara Guinane, élève de terminale et fondatrice de la Virtual Class. Pour être prêt le jour du Grand oral, elle préconise de travailler en amont, puis de relâcher la pression les jours précédents l’épreuve, en sortant avec ses amis ou en pratiquant une activité physique. Pour Chadrack Ilanga, enseignant en art oratoire et préparateur au Grand oral, "la répétition mène à la maîtrise, la maîtrise mène à la conviction". Il insiste donc sur l'importance de simuler des débats avec des proches pour "forger son caractère et sa personnalité".