"Je ne sais pas si on s’en protège", confie Inès Vandamme, à propos du cyberharcèlement qu’elle a subi. La danseuse de l’émission "Danse avec les Stars" avoue avoir été victime de harcèlement sur les réseaux sociaux et d’acharnement de la part d’une femme. Une situation difficile qui lui "prend la tête" et qui l’atteint. Sa solution ? En parler à son entourage et aux "personnes de confiance".
C'est un mot qui déchaîne les passions ! Le Web 3, terme inventé en 2014 par Gavin Wood, souhaite redonner le pouvoir à ses utilisateurs. Pourquoi est-il le futur de l'Internet ? Que va-t-il vraiment changer dans nos vies ? Comment le Web3 va-t-il impacter le secteur de l'éducation ? Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit en plateau Jérémy Giraud, entrepreneur et auteur du livre "Le Web3 pour tous".
Dans son "Focus" du jour, le Centre pour l'éducation aux médias et à l'information (CLEMI) vous donne quelques astuces pour vous accompagner dans l'utilisation de vos ordinateurs et tablettes.
Quelles sont les dernières avancées de l'intelligence artificielle dans le secteur de la musique ? Jeanne Dreyfus apporte des éléments de réponse dans son "Idée derrière la tech".
C’est un terme qui fait couler beaucoup d’encre dans l’univers de la tech. Le Web3, mot inventé en 2014 par Gavin Wood, un informaticien britannique, serait le successeur du Web 1.0 et du Web 2.0. Le Web 3.0 utilise notamment les blockchains ou encore les cryptomonnaies avec un objectif : redonner le pouvoir à ses utilisateurs. Chacun sera donc "propriétaire de ses données, de sa navigation et de ce qu’il fait sur internet", explique Jérémy Giraud, entrepreneur et auteur du livre "Le Web3 pour tous".
Terme inventé en 2014 par l’informaticien britannique Gavin Wood, le Web3 fait beaucoup parler dans le monde de la tech. Il pourrait d’ailleurs impacter le secteur de l’éducation, même si "on est dans une phase précoce", estime Jérémy Giraud, entrepreneur et auteur du livre "Le Web3 pour tous". En matière d’éducation, "on a déjà des initiatives intéressantes", souligne-t-il.
Mardi dernier, la commission des Affaires culturelles et de l’Éducation à l’Assemblée nationale a organisé une table ronde sur l’information et l’éducation à l’ère du numérique. Un sujet particulièrement important et qui prend de plus en plus d’ampleur à l’école selon Isabelle Rauch, sa présidente. "Il est impératif d’éduquer tout le monde au numérique, enseignants, parents et enfants", insiste-t-elle.
Les écoles privées hors contrat rencontrent un franc succès en France. Entre 2010 et 2021, le nombre d’établissements de ce type a bondi de près de 110%. Pour conseiller au mieux les futurs gérants et leur donner la parole, Stéphanie d'Esclaibes a produit le podcast "Créer son école". "En milieu rural, les écoles indépendantes se développent beaucoup", explique-t-elle, parce que les classes ferment les unes à la suite des autres et "l’école publique souffre". Les frais de scolarité de ces écoles hors contrats dépendent également de la région.
En 2020, la Fédération française de surf comptait 680 000 adhérents. Maxime Huscenot, surfeur professionnel, a commencé à pratiquer le surf à La Réunion. Il s’est entraîné dans de "super structures" et a bénéficié des cours à distance, ce qui lui a permis de "voyager, de surfer et de faire des compétitions à l'étranger malgré les décalages horaires". Selon Baptiste Cantin, moniteur de surf chez Big Mama Surf School, si le surf se développe en France, "tout le monde n'est pas forcément proche de l'océan pour pratiquer".
Représenter et défendre les intérêts d'un client ou d'un groupe d'intérêt auprès d'acteurs politiques ou d'instances de décisions, c'est le quotidien du lobbyiste. Il doit également s’atteler à la veiller juridique, convaincre les décideurs politiques, rédiger des propositions de loi. Irina Capron liste les différentes manières de se former et souligne que la maîtrise de l'anglais est très appréciée par les recruteurs.
Chaque année, environ 700 000 élèves sont concernés par le harcèlement scolaire en France. Pour lutter contre ce fléau, Benjamin Barthélémy a fondé le "Netsooon technologies". Il explique comment lui est venu cette idée.
Comment expliquer les émeutes survenues la semaine dernières après la mort de Nahel, 17 ans, tué par un policier ? Pour Pierre Amougou, président de "Les mindsetters" et créateur de contenus, s'il comprend ces mouvements de contestation, il ne les justifie pas. Une émeute est un moyen de "se faire entendre", explique-t-il. Parmi les émeutiers, on trouve des "personnes qui n'ont pas forcément de perspective d'emploi ni de réussite à l'école (...). Pour montrer leur mécontentement, certains de ces jeunes vont participer à ces émeutes".
Réaliser un petit film consacré à une personne qui nous inspire, c’est le principe du concours "Moteur !". Grâce à cette initiative pédagogique, les 25 lauréats du concours ont pu monter les marches du 76ᵉ Festival de Cannes. Parmi eux, Gaspard Florin-Camagna, étudiant en première année de droit, qui a suivi son ancien principal de collège, Max Tchung-Ming. "On a reçu le clap d'or des mains de Thierry Frémaux, le délégué général du Festival de Cannes", se souvient le jeune nantais de 17 ans, à l’occasion de cet événement. Une expérience rendue "possible grâce aux rencontres que l'on a faites préalablement et qui nous ont permis de faire ces films", souligne-t-il. "Dans nos métiers, c'est assez rare d'être remercié", ajoute Max Tchung-Ming, le principal du collège Claude Debussy à Nantes. Il se dit "très touché" par ce film.
Accompagner les jeunes dans la découverte du milieu de l’entreprise, c’est la mission de la Fondation Sycomore. Cette initiative créée "une grande richesse", explique Christine Tarbouriech, la déléguée générale de la Fondation Sycomore. Grâce à des ateliers de théâtre, et des jeux de piste, l'objectif est d'instaurer des liens solides entre ces deux mondes qui "ne sont pas si éloignés que ça".