Les concours de l'enseignement attire moins de candidats, et les démissions des professeurs augmentent. William Lafleur, prof d'anglais pendant douze ans, vient de jeter l'éponge. Plus connu sous le nom de Monsieur le Prof sur les réseaux, il raconte son expérience et son désenchantement dans son livre "L'ex plus beau métier du monde". Il est l'invité d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
C'était il y a 30 ans, jour pour jour. Le 13 septembre 1993, Yitzhak Rabin, premier ministre israélien et Yasser Arafat, le représentant de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), échangeaient une poignée de main historique et signaient les accords d'Oslo. Cécile Fournier vous en dit plus dans son "Antisèche".
Dans son "Heure de la récré", Cécile a découvert une école de pom-pom girl, près de Toulouse.
En fin d'émission, rendez-vous avec Candice Anzel, coach en parentalité, pour son "Conseil de famille". Elle fait le point sur les devoirs à la maison, sujet de crispation entre parents et enfants.
Après avoir enseigné l’anglais pendant douze ans, William Lafleur, connu sous le pseudo Monsieur le prof sur les réseaux sociaux, a démissionné. Il rend compte de la réalité du métier d’enseignant dans son livre, "L’ex plus beau métier du monde". Sur le plateau de "La Quotidienne", il livre ses conseils pour rendre la profession plus attractive.
"L’école est une société à l’intérieur de laquelle il n’y a pas de conscience", analyse Gilles Déka. Dans son dernier livre intitulé "Pourquoi l’école va-t-elle si mal", l’ancien inspecteur explique pourquoi l’école traverse une crise. Sur le plateau du Grand JT de l’Éducation, il rappelle que "les professeurs, à eux seuls, ne parviendront pas à supporter tous les enjeux de nos sociétés", et propose de mettre en place une "coopération inter-catégorielle". Gilles Déka pointe du doigt le silence des directeurs académiques et leurs adjoints, les inspecteurs pédagogiques, des "cadres supérieurs qui ne parlent jamais, y compris sur les sujets brûlants d’actualité".
Il vient de démissionner de l’Éducation nationale, après avoir enseigné l’anglais pendant douze ans. Dans son livre "L’ex plus beau métier du monde", William Lafleur, alias Monsieur le Prof sur les réseaux sociaux, explique pourquoi il a jeté l’éponge. Sur le plateau de "La Quotidienne", il évoque notamment le climat qui règne entre professeurs et chefs d’établissements dans certains établissements. "Ce dernier peut tout à fait diviser le personnel, et parfois, il ne s'en prive pas", regrette-t-il.
"Pourquoi l'école va-t-elle si mal ?", c'est le titre de l'ouvrage de Gilles Déka. Après avoir passé plus de quarante ans au sein de l'Éducation nationale et exercé l'ensemble des métiers, de professeur, à chef d'établissement en passant par inspecteur, il dresse un constat amer et accablant de l'institution. Il est l'invité de Virginie Guilhaume pour en parler.
En deuxième partie d'émission, on poursuit le débat pour comprendre pourquoi le métier d'enseignant n'attire plus. Sylvain Bersinger, auteur du livre "Et ça vous étonne qu'on ne trouve plus de profs", en parle sur notre plateau.
Dans sa chronique "Vu à l'étranger", Guillaume Buan fera un point sur la crise des crèches privées.
Raconter les difficultés du quotidien, l’échec vécu par les professeurs, et parfois, leur sentiment de ne pas être à la hauteur… Toutes ces thématiques sont au cœur du dernier film de Thomas Lilti. En salle le 13 septembre, "Un métier sérieux", dresse le portrait de différents profils enseignants. Un métier dont le "on/off n’existe pas", rappelle le réalisateur.
Il est passé maître dans l'art de raconter et de fabriquer des fictions qui semblent plus réalistes que des documentaires. "Un métier sérieux", le nouveau film de Thomas Lilti sort en salle le 13 septembre. Il met en scène le quotidien triste et joyeux de professeurs. Emmanuel Davidenkoff reçoit le réalisateur Thomas Lilti pour en parler.
Dans son "Antisèche", Cécile Fournier dresse le portrait de François 1ᵉʳ, à l'occasion de l'anniversaire de ce roi de France né le 12 septembre.
À "L'heure de la récré", Cécile fête les dix ans d'Azuro, le petit dragon bleu.
En fin d'émission, rendez-vous avec Amélie Paris, professeure-documentaliste, pour ses "Années collège". Elle nous raconte comment s'est déroulée la rentrée pour les élèves de 6ᵉ au collège Maurice Utrillo (Paris).
Face à l’inflation galopante, les enseignants vont-ils être obligés de signer le pacte enseignant pour vivre dignement ? Selon Norman Gourrier, secrétaire général du syndicat national des collèges et des lycées (SNCL), "les enseignants ont perdu 30 % de leur pouvoir d’achat depuis les années 80. (…) Ils sont impactés par l’inflation de 10 à 11% sur ces derniers mois". Face aux diverses mesures du gouvernement pour revaloriser les salaires, le secrétaire général du SNCL constate également une différence de traitement entre les jeunes professeurs, et les plus anciens. Ces derniers se considèrent comme les "oubliés, et "ont le moins d'intérêt à faire le pacte", explique-t-il.
C’est l’un des nouveaux dispositifs voulus par le gouvernement pour cette rentrée 2023. Le pacte enseignant est proposé à tous les professeurs d’écoles, collèges et lycées. Un pacte qui ne fait pas l’unanimité parmi le personnel éducatif. Il vise à mieux rémunérer les enseignants en leur proposant, s’ils le souhaitent, d’effectuer des missions supplémentaires. Il s’agit par exemple de réaliser des remplacements de courte durée dans les collèges et lycées ou d’encadrer des heures de soutien en français ou en mathématiques. Selon Dahvia Ouadia, rédactrice en cheffe de l’Étudiant, ce pacte met en lumière les inégalités de genre.
Le pacte enseignant cristallise les tensions en salle des professeurs. En quoi consiste-t-il réellement ? Pourquoi ce dispositif ne fait-il pas l'unanimité ? Dahvia Ouadia, rédactrice en cheffe de l’Étudiant et Norman Gourrier, secrétaire général du syndicat national des collèges et des lycées (SNCL), sont les invités de Virginie Guilhaume pour en parler.
Comment progresser en anglais ? Paul Marzaioli, auteur du livre "I (do) speak English", livre ses conseils en deuxième partie.
Retrouvez en fin d'émission Loïc Landrau qui vous propose quelques sorties culturelles à faire en famille dans son "Agenda du week-end".
Relever les défis de l'éducation est un réel pari pour le nouveau ministre de l'Éducation nationale. Nommé le 20 juillet dernier, Gabriel Attal est l'un des acteurs phares de cette rentrée scolaire. Quelle est sa marge de manœuvre ? Va-t-il s'inscrire dans la continuité de ces prédécesseurs ? Comment ses premières annonces sont-elles perçues ? Philippe Moreau-Chevrolet, professeur de communication politique à Sciences po et Guislaine David, co-secrétaire générale et porte-parole de la FSU-SNUIPP (Syndicat national unitaire des instituteurs, professeurs des écoles et PEGC) sont les invités de Virginie Guilhaume pour en parler.
L'apprentissage des maths peut se faire sans douleur et même avec beaucoup de plaisir ! C'est la solution proposée par l'ouvrage "Les maths, même pas mal !". Hong My Nguyen, son autrice, en parle en deuxième partie d'émission.
Dans sa chronique "Vu à l'étranger", Guillaume Ouattara fera un tour du monde des vacances et des rentrées scolaires.
Elle a été au cœur des problématiques qui ont secoué l'école cette année. Présidente de la Commission des Affaires culturelles et de l'Éducation à l'Assemblée nationale, Isabelle Rauch est l'invitée de Virginie Guilhaume. Réformes en cours pour l'école, place du numérique dans les salles de classe, nouveautés de la rentrée scolaire... Elle répond à toutes ces questions en plateau.
C'est un escape game qui permet de sensibiliser les enfants à l'environnement. Manon Gilbert, chargée de communication d'Escape kit, explique cette initiative intéressante à faire en famille.
En fin d'émission, Loïc Landrau a déniché pour vous des vidéos qui font du bien au moral. Il vous en dit plus dans sa chronique "Quoi de neuf sur les réseaux ?".