Depuis la rentrée de septembre 2024, des groupes de besoins sont mis en place, en maths et en français, en 6e et en 5e.
Le 28 novembre dernier, le Conseil d’État a annulé l’arrêté du 15 mars 2024, qui instaurait ces groupes de besoins, donnant raison aux différentes parties qui dénonçaient un passage en force du gouvernement.
Monique de Marco, sénatrice écologique de la Gironde, a exposé son point de vue sur cette situation.
#Collège
Alors qu'Emmanuel Macron a promis de nommer un Premier ministre ce jeudi, Émilie Zapalski, éditorialiste politique et conseillère en communication, estime qu'on "le voit dans les sondages, il y a de plus en plus de défiance" des Français à l'égard de la politique. Elle développe son analyse sur le plateau du "Grand JT de l'Éducation".
Mardi 10 décembre, Emmanuel Macron a réuni les chefs des partis politiques à l'Élysée, à l'exception du Rassemblement national (RN) et de La France insoumise (LFI), pour leur annoncer son intention de nommer un nouveau Premier ministre "dans les 48 heures". Invitée du "Grand JT de l'Éducation", Émilie Zapalski, éditorialiste politique et conseillère en communication, livre son analyse, sur le plateau de Virginie Guilhaume.
Cinq jours après la démission de Michel Barnier, allons-nous vers un gouvernement d'union nationale ? C'est en tout cas l'équation qu'essaie de résoudre Emmanuel Macron avec les autres chefs de partis. Émilie Zapalski, éditorialiste politique et conseillère en communication, est l'invitée de Virginie Guilhaume pour décrypter ce moment particulièrement inédit.
La ville de Marseille met l'éducation populaire à l'honneur grâce aux "Rencontres de l'éducation populaire". Marie Batoux, adjointe en charge du dossier, en dit plus en deuxième partie d'émission.
331 députés de gauche et du Rassemblement national ont censuré le gouvernement de Michel Barnier ce mercredi 4 décembre. Le gouvernement est donc renversé. Invitée du "Grand JT de l'Éducation", Laurence De Cock, historienne et essayiste, estime que la démocratie n'est pas respectée. En faisant référence aux résultats des dernières élections législatives, et à la chute du gouvernement de Michel Barnier, elle estime que "le fait de ne pas respecter la logique institutionnelle (...) donne une piètre image de la politique".
Le gouvernement de Michel Barnier a été renversé. Que faire à présent face à cette situation totalement inédite ? Comment envisager l'avenir de l'école ? Qui pour remplacer Anne Genetet, la ministre de l'Éducation nationale ? Laurence De Cock, historienne et essayiste, est l'invitée de Virginie Guilhaume pour en parler.
Comment sensibiliser les familles aux accidents domestiques ? Vanessa Madi, responsable des projets éducation à l'INC, en dit plus en deuxième partie.
Après la décision du Conseil d'État d'annuler les groupes de niveaux, que faut-il penser de l'Acte II du choc des savoirs ? Morgane Verviers, secrétaire générale de l'UNSA-Éducation est l'invitée de Virginie Guilhaume.
En deuxième partie d'émission, on se penche sur la 38ᵉ édition du Téléthon, qui permet de récolter des dons pour la recherche et de mettre en lumière les maladies génétiques rares. Jean-François Briand, directeur des opérations et innovations pour le Téléthon, en parle en plateau.
Face à la baisse de la dotation globale de fonctionnement versée chaque année à chaque collège de département, les collectivités doivent trouver des solutions. Invité du "Grand JT de l'Éducation", Jérôme Bérenger, vice-président du Conseil départemental de l'Essonne, évoque les "efforts" demandés pour chaque établissement de l'Essonne. Cela "représente un effort de 430 000 euros sur un budget total de 7,5 millions", explique-t-il. Olivier Beaufrère, secrétaire national du SNPDEN-UNSA apporte également son analyse sur ce sujet.
Réduire les dotations des collectivités pour réaliser des économies, c'est l'une des annonces du gouvernement. Cette annonce n'a pas été bien reçue dans les collectivités, les départements et leurs écoles. Comment les collectivités vont-elles s'en sortir ? Olivier Beaufrère, secrétaire général du SNPDEN-UNSA et Jérôme Bérenger, vice-président du Conseil départemental de l'Essonne, sont les invités de Virginie Guilhaume.
Questionner nos relations et les stéréotypes de genre, c'est tout le sujet du livre "La chasse" de Maureen Desmailles. Elle en parle en deuxième partie.
Le ministre de la fonction publique, Guillaume Kasbarian, souhaite déployer un plan de lutte contre la hausse de l'absentéisme dans la fonction publique. Cette nouvelle a fait beaucoup réagir. Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Michael Marcilloux, co-secrétaire général de la CGT Éduc'Action et Laurent Cappelletti, professeur du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) en contrôle de gestion.
"Zèbres et cie", c'est le nom d'un nouveau magazine consacré aux profils neuroatypiques. Céline Lis-Raoux, journaliste et fondatrice du magazine, en dit plus en deuxième partie d'émission.
Plus de 13 000 élèves étaient encore sans affectation quelques semaines après la rentrée scolaire. Comment expliquer cette situation ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit Jérôme Teillard, chef de projet Parcoursup au ministère de l'Enseignement supérieur et
Farida Amrani, députée LFI de l'Essonne, à l'origine d'une proposition de loi pour garantir une affectation pour chaque élève.
En deuxième partie, on vous emmène au théâtre découvrir "La malédiction de la sorcière". Alain Toubiana, créateur du spectacle et Michel Voletti, metteur en scène, en disent plus en plateau.
Invitée du "Grand JT de l'Éducation", Farida Amrani, députée LFI-NFP de l'Essonne, est revenue sur Parcoursup et sur la mauvaise expérience d'une élève sur la plateforme pour obtenir une affectation. Jérôme Teillard, chef de projet Parcoursup au ministère de l'Enseignement supérieur, se dit "étonné". Selui lui, "l'information sur le statut de l'établissement figure sur Parcoursup".
Pour permettre à tous les élèves d'être affecté dans un établissement avant chaque rentrée scolaire, Farida Amrani a déposé, mi-octobre, une proposition de loi. Pour rappel, en septembre 2014, plus de 13 000 élèves n'avaient toujours pas été affectés dans un établissement scolaire.