"Depuis quelques années, de plus en plus de personnes décident de revendiquer leurs amitiés et de s'engager pleinement dans ces relations. Elles y découvrent des lieux de joie, mais aussi de solidarité et de résistance face aux aliénations du système patriarcal, capitaliste et dans une période de grande incertitude écologique.". C'est le constat que dresse Alice Raybaud dans son tout premier ouvrage "Nos puissantes amitiés". Elle invite notamment les lecteurs à replacer l'amitié au centre et à repenser la vie à l'échelle d'un groupe d'amis, plutôt qu'à celui du couple.
La théorie de l’attachement de John Bowlby explique que l’enfant a besoin de contact avec une personne pour que son développement social et émotionnel soit normal. Dans "La Quotidienne", Bettina Zourli, connue sous le pseudonyme de @jeneveuxpasdenfant sur Instagram, insiste sur le fait que la mère n’est pas le seul parent à pouvoir subvenir aux besoins de l'enfant. Selon elle, c’est "l’ancrage patriarcal qui dit que, de manière naturelle, les femmes sont plus dotées d’une capacité naturelle à s’occuper des enfants que les hommes".
30% des femmes en âge de procréer déclarent ne pas vouloir d'enfants. C'est ce que révèle une étude Ifop de 2020. Ce phénomène, en hausse, s'appelle le "Child Free". Notre invitée consacre un ouvrage à ce sujet, "Le temps du choix : être ou ne pas être mère". Bettina Zourli, plus connue sous le pseudonyme sur Instagram @jeneveuxpasdenfant, est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Dans son "Antisèche", Brandon Waret fait le point sur le débat sur l'avortement aux États-Unis, qui s'accélère à l'occasion des primaires républicaines.
Dans son "Heure de la récré", Brandon nous emmène au cinéma découvrir "Le Royaume de Kensuke", réalisé par Neil Boyle et Kirk Hendry.
En fin d'émission, on retrouve le "Conseil de famille" de Candice Anzel. Notre coach en parentalité vous explique comment apprendre à son enfant à dire "non".
Dans son ouvrage "Séparations avec enfants : conflits, violences, manipulations", Marie-France Hirigoyen, psychiatre et psychanalyste, livre son expertise pour les parents en cours de séparation. Si elle rappelle que le conflit "n'est pas un drame" durant cette période, elle estime que le système judiciaire actuel "aggrave plutôt le conflit" car les procédures sont longues.
Favoriser la résidence alternée lorsqu'elle est souhaitable et un temps parental aussi équilibré que possible, c'était l'objectif de la proposition de loi examinée en décembre dernier par le Sénat. Elle a été votée puis transmise à l'Assemblée nationale. Ce sujet est au cœur de "Séparations avec enfants : conflits, violences, manipulations", le nouvel ouvrage de Marie-France Hirigoyen, psychiatre et psychanalyste. Elle est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
La Corée du Nord affirme avoir testé un "système d'armement nucléaire sous-marin", en janvier dernier. Brandon Waret fait le point dans son "Antisèche".
Dans son "Heure de la récré", Brandon met en lumière les nouveaux émojis qui débarquent dans nos smartphones.
Qu'attendent les jeunes pour le futur ? C'est la question que soulève par Marie Ollivier dans son "Cours particulier" en fin d'émission.
"Les parents investissent tellement cet enfant, que lorsqu'ils se séparent, l'enfant devient souvent l'enjeu central des conflits". Dans son ouvrage "Séparations avec enfants : conflits, violences, manipulations", Marie-France Hirigoyen, psychiatre et psychanalyste, analyse les effets de la séparation sur les familles et sur les jeunes.
Le syndrome du bébé secoué survient lorsqu'un nourrisson ou un jeune enfant est violemment secoué, par l'un de ses parents. Il entraîne des lésions du cerveau, qui peuvent devenir irréversibles, voire mortelles dans 10% des cas. Selon le ministère de la Santé, un bébé sur dix en France, victime de secouements, décède. Selon Aude Lafitte, présidente de l'association AVI (Action contre les violences infantiles) et militante pour la protection de l'enfance, "on parle de 500 bébés secoués chaque année officiellement, mais il y a aussi tous ceux à qui on ne fait pas passer les examens. Tous les experts s'accordent à dire qu'on est dans une sous-évaluation du chiffre". Elle insiste sur cette "maltraitance" qui se déroule "à huis clos dans l'intimité d'une maison", sans témoins. Son fils a été secoué par un tiers et en est décédé.
Le bégaiement est un trouble assez fréquent qui touche près de 8% des enfants, selon l'association "Parole bégaiement". Christine Tournier, sa déléguée départementale, explique les causes de ce trouble qui se caractérise par des répétitions d'une même syllabe et des hésitations dans l'élocution. Elle rappelle tout de même qu'il n'existe pas de "définition unique du bégaiement".
"Lorsqu'on est maman solo, la précarité est plus que doublée", confie Mathilde Auzou, ambassadrice du "Fonds Femmes et avenir". Ayant elle-même été confrontée à cette situation, elle explique pourquoi les femmes seules s'investissent massivement dans leur travail, "jusqu'à en oublier leur santé mentale".
"30% des familles en France sont monoparentales. 85% d'entre elles sont assurées par les femmes", déplore Angélique Gasmi, présidente du "Fonds femmes et avenir". Sur les 4,7 millions d'enfants issus de familles monoparentales, près de 41% d'entre eux vivent dans la pauvreté, rappelle-t-elle. Pour combattre la précarité, mieux accompagner ces familles et sensibiliser l'opinion publique, elle a lancé, en 2021, le Fonds de dotation "Femmes et avenir", une œuvre philanthropique d'intérêt général.
4,7 millions d'enfants sont issus de familles monoparentales. Pour les accompagner au mieux, et lutter contre la précarité, "Le Fonds femmes et avenir" s'engage au quotidien. Pourquoi est-il urgent de sensibiliser le grand public sur ce sujet ? Pourquoi la précarité concerne-t-elle davantage les mamans seules ? Que faire pour lutter contre ce fléau ? Quelle est la stratégie à adopter pour combattre la monoparentalité ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Angélique Gasmi, présidente du "Fonds femmes et avenir" et Mathilde Auzou, ambassadrice de ce même fonds de dotation.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen met en lumière "Commune", une startup de coliving monoparental.
Dans son livre "Père au foyer : Comment la parentalité positive a changé ma vie !", sorti le 24 janvier, l'influenceur Samuel Clot partage son expérience en tant que père engagé. Suivi par plus de 171 000 abonnés sur Instagram, il a donné, dans le "Grand JT de l'Éducation", sa définition de la parentalité positive et son point de vue concernant les "violences éducatives", qui "n'ont rien d'éducatives", explique-t-il.