En France, on compte environ 700 000 familles recomposées, 1,5 million d'enfants concernés, soit un jeune sur dix, selon l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Dans son ouvrage "La famille recomposée : à chacune son histoire", Serge Mori, docteur en psychologie clinique et psychopathologie, énonce ses conseils pour accompagner au mieux les familles dans cette étape. Selon lui, "l'effet d'annonce" de la séparation ou du divorce, est assez "traumatisant". Au moment de la présentation des beaux-parents, il estime qu'il faut "dédramatiser" cette étape, en évitant les déclarations "solennelles".
C'est un sujet qui fait de plus en plus irruption dans le débat public. Après #MeToo, certains hommes s'interrogent sur la déconstruction des normes masculines. Selon une étude réalisée par l'Ifop en 2022, 54% des hommes hétérosexuels et bisexuels, en couple, se disent déconstruits. Romain De Becdelièvre, journaliste, producteur France Culture, en dit plus sur le plateau de "La Quotidienne".
Alors que 56% des hommes de moins de 25 ans se disent "déconstruits", selon une étude Ifop parue en 2022, à l'inverse, certains groupes d'hommes véhiculent un discours masculiniste. D'après le dernier rapport du Haut Conseil à l’égalité (HCE) publié début 2024, 37 % des hommes en France considèrent que le féminisme "menace leur place" au sein de la société. Sur le plateau de la "Quotidienne", Romain De Becdelièvre, journaliste, producteur France Culture, analyse ce phénomène. Il a d'ailleurs lancé un podcast, "Être un bon homme", sur France Culture pour décrypter les masculinités contemporaines.
Quels sont les discours, les inquiétudes, ou encore les modèles des hommes aujourd'hui ?
Romain De Becdelièvre, journaliste et producteur France Culture, propose des pistes de réponse dans un podcast intitulé "Être un bon homme". Il est l'invité d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
L'Atelier des Lumières propose une exposition particulièrement intéressante, consacrée aux orientalistes. Brandon Waret en dit plus dans son "Antisèche".
Brandon nous emmène ensuite, à l'"Heure de la récré", à la Comédie-Française pour découvrir et acheter des costumes d'époque.
En fin d'émission, on retrouve Sandra Ferreira pour son rendez-vous "Plateau repas". Notre diététicienne-nutritionniste nous dira s'il faut vraiment saler tous nos repas.
C'est une véritable "addiction" dont Ludivine Grétéré a souffert pendant plus de vingt ans. Victime d'anorexie mentale, un trouble du comportement alimentaire (TCA), elle raconte son histoire dans un livre poignant, "Imparfaite", paru le 31 janvier 2024. "On pense qu'on peut gérer cette maladie, cette addiction, mais, en réalité, on ne fait que s'enfoncer", souligne-t-elle, sur le plateau de "La Quotidienne". Pour s'en sortir, elle estime qu'il faut "traiter la maladie" le plus tôt possible. L'entourage est d'ailleurs primordial pour combattre l'anorexie mentale, explique-t-elle.
Soutenir et accompagner les enfants victimes d'un parent toxique, c'est le combat que mène quotidiennement Alexandra Sojfer. Elle raconte d'ailleurs sa propre histoire dans un récit autobiographique poignant, "Verticale", paru le 18 novembre 2023. Sur le plateau du "Grand JT de l'Éducation", elle explique qu'"on peut s'en sortir". Elle accompagne d'ailleurs les enfants souffrant de maltraitance grâce à l'association, "Unis contre la maltraitance maternelle", qu'elle préside.
C'est un syndrome encore méconnu. Les médias évoquent "le syndrome de la cabane" au moment du premier confinement pour désigner l'angoisse de sortir de chez soi après avoir été longuement enfermé. D'abord observé au Japon, chez des adultes, appelés les hikikomori, le syndrome de la cabane s'implante maintenant en Europe et concerne aussi les jeunes, explique Ludovic Lecomte. Auteur du roman jeunesse "La cabane", Ludovic Lecomte raconte la vie d'un ado atteint de ce syndrome, qui ne parvient pas à sortir de chez lui après six mois d'enfermement.
Le syndrome de la cabane est une expression utilisée par les médias après le premier confinement. Les individus affectés par ce syndrome ont peur de sortir de chez eux, et s'isolent. Ils ne ressentent plus l'envie de socialiser. De plus en plus de jeunes se sentent d'ailleurs concernés par cet état émotionnel. Ce sujet est au cœur du nouveau roman jeunesse, "La cabane" de Ludovic Lecomte. Il est l'invité d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Le 19 février 1942 se tenait le procès politique de Riom. Brandon Waret sort son "Antisèche" pour en dire plus.
Dans son "Heure de la récré", Brandon évoque Tour Eiffel en allumettes de 7,19 mètres.
En fin d'émission, on retrouve Marie Ollivier pour son "Cours particulier". Elle retrace le parcours du pédagogue Paul Robin, théoricien de l'éducation intégrale.
Répéter plusieurs fois les mêmes consignes à son enfant peut s'avérer épuisant. Comment faire en sorte qu'il se brosse les dents ? Comment l'inciter à ranger ? "On ne va pas passer notre temps à lui dire "Non", car il sera frustré", analyse l'autrice Véronique Maciejak. Dans son livre " Ça file good à la maison !", elle livre ses secrets et astuces pour guider les parents au quotidien.
L'injonction à être un bon parent aujourd'hui provoque beaucoup de pression et de stress chez les familles, mais également chez les enfants. Véronique Maciejak a des solutions pour se déculpabiliser. Elle livre toutes ses recommandations dans son ouvrage "Ça file good à la maison !". Elle est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Le gouvernement souhaite lancer un "service civique écologique" en 2027. Cécile Fournier en dit plus dans son "Antisèche".
Dans son "Heure de la récré", Cécile dresse le portrait d'Antoine, le plus jeune porteur de la flamme olympique.
En fin d'émission, on retrouve Sandra Ferreira pour ses conseils "Plateau repas". Notre diététicienne-nutritionniste propose des idées de repas équilibrés et faciles à réaliser.
Près de la moitié de la population sera atteinte d'au moins un trouble mental avant l'âge de 75 ans. C'est ce que révèle une étude mondiale, co-dirigée par des chercheurs de l'université du Queensland et de la Harvard Medical School, menée dans 29 pays. "D'un point de vue épidémiologique, ce sont des troubles, des pathologies, qui ont un lien avec l'enfance", analyse Sébastien Ponnou, psychanalyste et maître de conférences en science de l'éducation. Pour lutter contre ce fléau, il existe des "leviers" pour agir.
Selon une étude publiée le 5 février dernier par Santé publique France, 7,2% des 18-24 ans interrogés ont déclaré avoir déjà eu des pensées suicidaires. Ils étaient 3,3% en 2014. C'est une augmentation de plus de 50% en l'espace de dix ans. Pour la sénatrice de l'Essonne Laure Darcos, il faut que la santé mentale des jeunes devienne la "priorité numéro 1" du gouvernement. Elle demande d'ailleurs à nommer un secrétaire d'État à la santé mentale des jeunes.