Un enfant est agressé sexuellement en France toutes les trois minutes. Pour agir contre ce fléau et mettre fin au silence autour des violences sexuelles, le gouvernement a lancé une campagne de communication nationale. Pour signaler les faits, un numéro d'appel national, le 119, a été ouvert 24h sur 24 et 7 jours sur 7. Selon la députée PS Isabelle Santiago, il ne s'agit pas seulement d'ouvrir une ligne téléphonique pour recueillir la parole de l'enfant, il faut également proposer un accompagnement à la victime. Elle suggère de mettre en place un "plan global. Il faut identifier tout ce qui se passe derrière la prise de conscience."
Chaque année, en France, 160 000 enfants sont victimes de violences sexuelles, selon la Ciivise (Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants). Pour Arnaud Gallais, victime de viols durant son enfance, il ne faut pas seulement écouter les témoignages, "il est temps d'agir". Selon le co-fondateur de "Mouv'enfants", notre pays reste passif et ne met pas assez de moyens pour stopper ce fléau.
Aujourd'hui, en France, 1 enfant est agressé sexuellement toutes les trois minutes, et 160 000 sont victimes d'inceste et de violences sexuelles chaque année, selon la Ciivise (commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants). Des chiffres glaçants qui ont fait réagir le gouvernement. La secrétaire d'État auprès de la Première ministre, chargée de l'Enfance, Charlotte Caubel, a donc lancé, le 12 septembre dernier, une campagne de communication nationale. Cette initiative va-t-elle enfin permettre de stopper ce fléau ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Isabelle Santiago, députée PS (Parti socialiste) et Arnaud Gallais, co-fondateur de "Mouv'enfants", ancienne victime d'inceste et auteur du livre "J'étais un enfant".
Après Miami, Stockholm ou encore Barcelone, le Paradox Museum s'installe à Paris. Son directeur général, Julien Teyssandier, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, dans son "Agenda", Loïc Landrau vous propose des idées de sorties à faire en famille.
Chaque année, dans le monde, 12 millions de filles sont mariées de force avant l'âge de 18 ans, selon l'UNICEF. En France, c'est près de 200 000 jeunes filles qui sont concernées. Les 16-22 ans sont les plus touchées par ce fléau, explique Sarah, membre de l'association "Voix de femmes". "Certains parents attendent que leur fille soit majeure pour la marier de force (…) et quatre mariages sur cinq sont célébrés à l'étranger".
En cette Journée internationale de la fille, le 11 octobre, l'équipe du "Grand JT de l'Éducation", se penche sur un fléau mondial. Douze millions de filles dans le monde sont mariées de force avant l'âge de 18 ans, selon l'UNICEF. En France, elles sont près de 200 000 à en être victimes. Comment lutter contre ? Quelles sont les solutions pour accompagner ces jeunes filles ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit Sarah, membre de l'association "Voix de femmes".
Un étudiant sur deux a déjà sauté un repas, selon une étude réalisée par l'association Cop1 et l'institut de sondage Ifop. Pour venir en aide à ces étudiants précaires, l'association "1 Cabas pour 1 étudiant", s'active au quotidien. Marion Dolisy-Galzy, présidente de l'association, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, Malika Ménard reçoit Yann Bouvier, alias Yanntoutcourt. Le professeur d'histoire et Tiktokeur revient sur sa scolarité sur le plateau de "Souvenirs d'écolier".
Si 50% des enfants de 10 à 15 ans reçoivent de l'argent de poche de la part de leurs parents, les garçons touchent plus d'argent que les filles. C'est ce que révèle une étude menée par l'Institut CSA pour le magazine pour ados "Julie" et le média "ViveS". Selon Valérie Lion, rédactrice en chef de Vives Média, les garçons ont "tendance à toucher de l'argent de poche plus tôt que les filles". Alors que les filles reçoivent 38 euros en moyenne par mois, les garçons, eux, en reçoivent 44. Valérie Lion explique pourquoi ces inégalités existent.
Ils sont entre 8 à 11 millions de personnes en France à soutenir un proche malade ou en situation de handicap. Pour soulager ces aidants, la ministre des Solidarités Aurore Bergé a annoncé la création de "6000 places supplémentaires de répit" pour les personnes âgées et handicapées. Cette mesure s’inscrit dans la nouvelle stratégie "Agir pour les aidants 2023-2027". Si cette nouvelle est bien accueillie, Nadine Maudet, vice-présidente de l’UNAPEI (Union nationale des associations de parents d'enfants inadaptés), explique que "le répit n’est pas la solution". Elle rappelle que la priorité, pour 91% des parents, reste la qualité de l’accompagnement de leurs enfants.
L'équipe de "La Quotidienne" fredonne la mélodie du bonheur à l'occasion de la parution d'une bande dessinée, "Les aventuriers du bonheur perdu". Un livre pédagogique qui explore le bonheur et l'harmonie. Rebecca Shankland, l'une des autrices, est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Dans son "Antisèche", Brandon Waret célèbre l'anniversaire de la naissance du cinéma parlant.
Le 7 octobre, pour la Journée internationale du sourire, Brandon évoque les origines de cet événement.
En fin d'émission, on pousse les portes de la "Librairie" pour retrouver les conseils de lecture de Célie Lutton.
En psychologie positive, le journal de gratitude consiste à noter chaque soir cinq éléments satisfaisants ou heureux qui se sont déroulés au cours de la journée. Au bout de quinze jours, "il y a des effets sur la réduction des symptômes anxieux et dépressifs, une amélioration de la satisfaction par rapport à la vie", explique Rebecca Shankland, professeure des universités en psychologie et développement. Elle vient de publier une bande dessinée intitulée "Les aventuriers du bonheur perdu : être heureux, ça s'apprend ?".
Création d'un congé menstruel en Espagne, mise en place de distributeurs de protections périodiques dans les universités... La notion de précarité menstruelle est de plus en plus évoquée dans l'actualité. Aline Bœuf, doctorante, chargée de recherche en sociologie à l’université de Genève, a écrit un ouvrage consacré à ce sujet, "Briser le tabou des règles". Elle est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Le 28 septembre 2023, Amin Maalouf est élu secrétaire perpétuel de l'Académie française. Il prend ainsi la succession d’Hélène Carrère d’Encausse, décédée le 5 août dernier. Brandon Waret sort son "Antisèche", pour relater l'histoire de l'institution.
Dans son "Heure de la récré", Brandon célèbre chats et chiens à l'occasion de la Journée mondiale des animaux, le 4 octobre.
En fin d'émission, rendez-vous avec Candice Anzel, coach en parentalité pour son "Conseil de famille". Elle explique pourquoi on apprend mieux en bougeant.
Ne pas se laver les cheveux pendant ses règles, ne pas faire de sport, ou encore ne pas avoir de rapport sexuel... Durant des siècles, une femme qui avait ses règles était considérée comme "impure". Une idée fausse qui perdure encore aujourd'hui et qu'Aline Bœuf démonte dans son ouvrage "Briser le tabou des règles". Sur le plateau d'Emmanuel Davidenkoff, la doctorante en sociologie à l'université de Genève évoque les nombreux mythes qui existent autour des règles.
Célébration ou traumatisme ? La venue des premières règles est un événement marquant dans la vie d’une jeune fille. Pour comprendre l'impact de ce phénomène, Aline Bœuf, doctorante, chargée de recherche en sociologie à l’université de Genève, a mené l’enquête et a récolté de nombreux témoignages de femmes, qui racontent leurs expériences.