Favoriser la résidence alternée lorsqu'elle est souhaitable et un temps parental aussi équilibré que possible, c'était l'objectif de la proposition de loi examinée en décembre dernier par le Sénat. Elle a été votée puis transmise à l'Assemblée nationale. Ce sujet est au cœur de "Séparations avec enfants : conflits, violences, manipulations", le nouvel ouvrage de Marie-France Hirigoyen, psychiatre et psychanalyste. Elle est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
La Corée du Nord affirme avoir testé un "système d'armement nucléaire sous-marin", en janvier dernier. Brandon Waret fait le point dans son "Antisèche".
Dans son "Heure de la récré", Brandon met en lumière les nouveaux émojis qui débarquent dans nos smartphones.
Qu'attendent les jeunes pour le futur ? C'est la question que soulève par Marie Ollivier dans son "Cours particulier" en fin d'émission.
"Les parents investissent tellement cet enfant, que lorsqu'ils se séparent, l'enfant devient souvent l'enjeu central des conflits". Dans son ouvrage "Séparations avec enfants : conflits, violences, manipulations", Marie-France Hirigoyen, psychiatre et psychanalyste, analyse les effets de la séparation sur les familles et sur les jeunes.
Pour enrayer la chute de la natalité en France, Emmanuel Macron a annoncé un plan contre l'infertilité. Parmi les mesures envisagées, l'exécutif prévoit d'instaurer un bilan de fertilité dès l'âge de 25 ans. "Ce n'est pas trop tôt", explique Daniel Vaiman, directeur de recherche à l'INSERM, car cela permet "d'anticiper un certain nombre de problèmes". En fonction du résultat, il existe des solutions adaptées pour permettre aux femmes d'avoir un enfant, si elles le souhaitent.
Un "réarmement démographique", c'est ce qu'a annoncé Emmanuel Macron face à la chute de la natalité en France. Lors de sa conférence de presse, le président de la République a également indiqué vouloir lancer un plan de lutte contre l'infertilité. L'Élysée souhaite instaurer un bilan de fertilité à 25 ans, "soit l'âge où les femmes sont le plus fertiles", et qui serait pris en charge à 100% par la Sécurité sociale. Une mesure que la députée PS Isabelle Santiago approuve. Selon elle, ce test permet d'"éviter tout un parcours parfois long" pour concevoir un enfant. Actuellement, ce bilan n'est pas intégralement remboursé et s'élève à 350 euros en moyenne.
Les Français font de moins en moins d'enfants. Pour accroître la natalité, Emmanuel Macron a annoncé une série de mesures et a évoqué un "réarmement démographique", qui a beaucoup fait parler. En quoi consiste le futur plan du gouvernement contre l'infertilité ? Pourquoi les Français sont-ils moins enclins à faire des enfants ? Isabelle Santiago, députée PS et Daniel Vaiman, directeur de recherche à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), sont les invités de Virginie Guilhaume pour en parler.
"Le club de Lulu" est un podcast Bayard Jeunesse qui rencontre un succès chez les 7-11 ans. Hélène Loiseau, productrice du podcast, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, Guillaume Ouattara a découvert des vidéos culinaires très surprenantes, voire inquiétantes sur TikTok. Il en dit plus dans sa chronique "Quoi de neuf sur les réseaux ?"
Pendant près de trente ans, il a été référent à l'aide sociale à l'enfance (RSE). Dans son livre, Jacques Trémintin raconte ses "Fragments de vie d'un référent ASE : La protection de l'enfance au cœur". "Pour moi, il s'agissait de donner le meilleur de ce que je pouvais donner, et je ne suis pas sûr d'y être parvenu", confie-t-il sur le plateau d'Emmanuel Davidenkoff. Pour Jacques Trémintin, l'objectif du RSE est d'accompagner au mieux et de soutenir les enfants en difficulté.
Le syndrome du bébé secoué survient lorsqu'un nourrisson ou un jeune enfant est violemment secoué, par l'un de ses parents. Il entraîne des lésions du cerveau, qui peuvent devenir irréversibles, voire mortelles dans 10% des cas. Selon le ministère de la Santé, un bébé sur dix en France, victime de secouements, décède. Selon Aude Lafitte, présidente de l'association AVI (Action contre les violences infantiles) et militante pour la protection de l'enfance, "on parle de 500 bébés secoués chaque année officiellement, mais il y a aussi tous ceux à qui on ne fait pas passer les examens. Tous les experts s'accordent à dire qu'on est dans une sous-évaluation du chiffre". Elle insiste sur cette "maltraitance" qui se déroule "à huis clos dans l'intimité d'une maison", sans témoins. Son fils a été secoué par un tiers et en est décédé.
Dans un avis rendu public, le Conseil économique, social et environnemental (CESE), s'alarme de la situation des jeunes placés dans le cadre de l'aide sociale à l'enfance (ASE). Il estime que la protection de l'enfance est un "angle mort des politiques publiques de la jeunesse". Jacques Trémintin a été référent ASE pendant près de trente ans. Il livre son témoignage dans son livre "Fragments de vie d'un référent ASE. Au cœur de la protection de l'enfance". Il est l'invité d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Arte s'intéresse à "La Religieuse" de Diderot, dans un documentaire que la chaîne diffuse. Cécile Fournier en dit plus dans son "Antisèche".
20 ans déjà que Facebook existe ! Cécile revient sur la création de ce réseau social dans son "Heure de la récré".
En fin d'émission, on retrouve Sandra Ferreira pour ses conseils "Plateau repas". Notre diététicienne-nutritionniste livre sa recette de crêpes pour la chandeleur.
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on s'intéresse à un sujet délicat et très préoccupant, le syndrome du bébé secoué (SBS). Chaque année, on compte environ 500 bébés victimes, mais ce chiffre est sous-estimé, selon de nombreux professionnels de santé. Si la parole se libère peu à peu, que faire pour enfin stopper ce fléau ? Quelles sont les actions du gouvernement ? Qu'en est-il de la prévention en France ? Comment mieux aider les parents à gérer le stress ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Aude Lafitte, présidente de l'association AVI (Action contre les violences infantiles) et militante pour la protection de l'enfance et Gwenaëlle Saulnier, maman de Perrine, décédée du SBS en 2014.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen met en avant le livre de Marie Salvatori, une maman qui témoigne dans son livre "On a secoué mon bébé... ".
Aujourd'hui, l'équipe du "Mag" se penche sur un concours pas comme les autres, "Éloquence du bégaiement". Depuis 2019, l'association "Éloquence de la différence" accompagne les personnes qui bégaient en leur proposant des formations adaptées. À quoi ressemble ce concours ? Comment faire pour que ces élèves parviennent à dépasser leur crainte de parler en public ? Comment améliorer son éloquence ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Mounah Bizri, président du concours "Éloquence du bégaiement" et Christine Tournier, déléguée départementale de l'association "Parole bégaiement".
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen dresse le portrait de Mathis qui utilise TikTok pour sensibiliser au bégaiement.
Le bégaiement est un trouble assez fréquent qui touche près de 8% des enfants, selon l'association "Parole bégaiement". Christine Tournier, sa déléguée départementale, explique les causes de ce trouble qui se caractérise par des répétitions d'une même syllabe et des hésitations dans l'élocution. Elle rappelle tout de même qu'il n'existe pas de "définition unique du bégaiement".
"Lorsqu'on est maman solo, la précarité est plus que doublée", confie Mathilde Auzou, ambassadrice du "Fonds Femmes et avenir". Ayant elle-même été confrontée à cette situation, elle explique pourquoi les femmes seules s'investissent massivement dans leur travail, "jusqu'à en oublier leur santé mentale".