Ce sont des termes qui sont apparus dans le débat public depuis peu. L'aromantisme, comme l'asexualité, sont des orientations sexuelles encore peu connues. Si les aromantiques ne ressentent aucune attirance romantique pour leur partenaire, les asexuels, eux, n'ont pas d'envies sexuelles. "On a tendance à penser que, toute personne normalement constituée, doit et peut être amoureuse", constate Aline Laurent-Mayard, journaliste et auteure du livre "Post-romantique : comment moins de romance pourrait sauver l'amour (et la société)". Or, elle explique qu'il existe d'autres schémas relationnels.
Actualité, culture, psychologie, société… La Quotidienne, vous propose des clefs de compréhension et des pistes d'action autour de l’éducation.