Il y a 55 ans, le premier spot publicitaire sur petit écran arrivait en France. Plus de liberté, plus de moyens, les années 70 à 90 marquent l'âge d'or de la publicité française. S’il existe désormais des contraintes réglementaires ou de langage, "le digital a ouvert beaucoup d'opportunités", assure Éric Delannoy, le vice-président de What's next partners (WNP). Affichages numériques, publicités sur les réseaux sociaux, influenceurs… Selon David Boagiu, étudiant en 2ᵉ année de BUT information et communication en publicité, les nouveaux supports digitaux étendent le champ des possibles et "ouvrent les portes de la créativité".
Vous rêvez d'être à l'origine de la future pub qui marquera les esprits ? Les métiers de la publicité nécessitent une grande capacité d'"écoute de la problématique", explique Éric Delannoy, le vice-président de What's next partners (WNP). Pourtant, le processus de création est la "partie centrale d'une agence", celle qui "fait rêver les gens", ajoute David Boagiu, étudiant en 2ᵉ année de BUT information, communication en publicité. Il insiste sur l'importance d'avoir la fibre créative pour exercer dans un tel domaine, puisque "savoir dessiner et manier les logiciels", n'est pas suffisant.
Directeur de création, graphiste, chef de publicité, directeur artistique… Zoom sur les métiers de la publicité. Comment intégrer ce secteur très demandé ? Quelles compétences doit-on acquérir à la fin des études pour espérer décrocher un job ? À quoi sert la pub ? Après l'âge d'or de la publicité dans les années 70 à 90, vit-on aujourd'hui une ère du recyclage ou de la créativité ? Quel est l'impact du digital ? Permet-il d'ouvrir le champ des possibles ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Éric Delannoy, le vice-président de l'agence de publicité What's next partners (WNP), et David Boagiu, étudiant en 2ᵉ année de BUT information et communication en publicité.
Dans sa "Loupe", Mathilde Wessels fait un tour d'horizons des métiers de la publicité.
Comment l'intelligence artificielle bouleverse-t-elle le monde de la pub ? Mathilde y répond dans son "Info en +".
"Ce n’est pas normal que quelqu’un qui habite en Ardèche ne puisse pas faire un bac marin-pêcheur s’il le souhaite et se retrouve dans une voie qu’il n’a pas choisie", regrette Dylan Ayissi, porte-parole du collectif "Une voie pour tous". Il fait référence notamment à la carte des formations, établie par le gouvernement chaque année. Cet outil fait état des différentes formations professionnelles des établissements scolaires en fonction des régions et départements. Cette carte doit d’ailleurs être repensée pour permettre aux jeunes de décrocher une formation qui correspond aux besoins des entreprises. Il estime que le gouvernement n’a pas assez "d’ambition" pour les élèves de voie professionnelle. Pour permettre à chaque élève de choisir une formation adéquate, Dylan Ayissi propose une "prise en charge totale des parcours de mobilité scolaire".
Comment faire en sorte que la voie professionnelle ne soit plus considérée comme une voie de garage ? Le gouvernement planche actuellement sur le projet de loi industrie verte qui concerne aussi les étudiants des filières professionnelles. Les syndicats, eux, ont manifesté leur mécontentement cette semaine. Dylan Ayissi, porte-parole du collectif "Une voie pour tous" et Christelle Meslé-Génon, présidente et fondatrice de "JobIRL", sont les invités de Virginie Guilhaume pour en parler.
Comment briser le tabou des règles alors que les stéréotypes ont la vie dure ? L'ONG "Plan International France" agit pour sensibiliser filles et garçons à ce sujet essentiel. Diane Richard, responsable relations presse et média au sein de cette ONG, explique tout en plateau.
Quel regard les jeunes portent-ils sur les informations ? Retrouvez leurs réponses dans leur "Regard d'enfant" en fin d'émission.
En 2019, il y avait 60 000 associations œuvrant dans le domaine humanitaire en France, selon une étude du "Paysage associatif français". Entre la préparation et le suivi des budgets, la gestion sécuritaire, ou encore le management du personnel, le travailleur humanitaire "ne s'ennuie jamais", explique Charline Petitjean, la cheffe de mission Soudan pour l'ONG Solidarités international.
Aider son prochain, c'est leur credo ! Les femmes et hommes qui œuvrent dans l'humanitaire ont pour valeurs communes l'entraide et la solidarité, mais à quel prix ? Quels sont les risques du secteur ? Comment se former à ces métiers qui requièrent une certaine expertise dans de nombreux domaines ? Où peut-on se former ? Patrice Boisfer reçoit Charline Petitjean, la cheffe de mission Soudan pour l'ONG Solidarités international et Mila Chansarel, une étudiante en sciences politiques, sociales et économiques, pour en parler.
Dans sa "Loupe", Irina Capron fait le point sur les différents métiers de l'humanitaire.
Avec 11 autres jeunes, une étudiante est partie en Inde pour une mission humanitaire grâce à l'association "Un autre monde". Irina fait le point dans son "Info en +".
Être remercié par les populations locales après avoir construit une clinique ou apporté l'eau dans un village, c'est la plus belle récompense pour un travailleur humanitaire, explique Charline Petitjean, la cheffe de mission Soudan pour l'ONG Solidarités international. Ce métier "gratifiant" nécessite tout de même une préparation en amont. "Il y a un très gros travail d'accès et d'acceptation à faire auprès des populations", selon elle puisque la confiance mutuelle entre les populations locales et le personnel humanitaire est primordiale.
Si la place des femmes dans le monde des jeux vidéo s'est largement démocratisée ces dernières années, seuls 15% des professionnels du secteur sont des femmes, selon le Syndicat national du jeu vidéo (SNJV). Comment inverser la tendance ? Pour y répondre, Marjorie Paillon reçoit Valérie Dmitrovic, directrice générale et co-fondatrice de Quest Education et Chloé Raza-Fi-Trimo, étudiante au sein du Gaming Campus.
Elle peut transformer n'importe quelle matière en biocarburant. Rencontre avec Alexandra Colin, la lauréate mise à l'honneur par la Fondation L'Oréal. Elle a remporté le Prix Jeunes Talents pour les Femmes et la science, comme le raconte Xavier Terrade dans son "Focus".
Ils sont la relève des disques durs. Dans son "Idée derrière la tech", Gaël Musquet évoque le succès des disques SSD.
Sensibiliser les jeunes à l’architecture, au paysage et à la ville, c’est la mission du dispositif pédagogique "Les architectes et les paysagistes dans les classes". Depuis son lancement en 2011, un professionnel bénévole intervient dans les écoles à la demande des professeurs pour faire découvrir ce secteur professionnel. "Le paysage est un terme abstrait et un peu compliqué pour les enfants", explique Vincent Guiné, paysagiste au conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement (CAUE) de Paris, d’où l’intérêt de mettre en place des ateliers ludiques. C'est aussi l'occasion de débattre de l'implantation de leur école et même de leur cour de récréation dans le quartier, souligne le paysagiste au CAUE de Paris. Trois départements franciliens bénéficient de ce dispositif : Paris, la Seine-Saint-Denis et le Val-de-Marne.
Les premiers résultats d’admissions sont désormais disponibles sur la plateforme Parcoursup. Que se passe-t-il pour les élèves qui ont obtenu des réponses négatives ? Qu’en est-il de ceux qui ont entré des vœux par dépit ? Manès Nadel, porte-parole Paris de "la Voix lycéenne", s’exprime sur le sujet.
Les élèves de terminale viennent de recevoir leurs premières propositions d'admission sur Parcoursup. Comment s'y retrouver ? Sont-ils satisfaits ou mécontents ? Quelles différences y a-t-il avec la plateforme APB ? Que deviennent les élèves dont les vœux ont été refusés ?
Pour en débattre, Virginie Guilhaume reçoit Manès Nadel, porte-parole Paris du syndicat (La Voix lycéenne) et Claire Guéville, professeure principale en terminale et membre du SNES-FSU (Syndicat national des enseignements de second degré).
Proposer aux enfants de 7 à 12 ans une formation musicale classique, c'est la mission du projet Démos. Grâce à cette initiative, les jeunes se produiront à la Philharmonie de Paris en fin d'année. Elisabeth Coxall, responsable du pôle pédagogique de Démos, nous fait découvrir ce projet.
En fin d'émission, dans sa chronique "Quoi de neuf sur les réseaux", Brandon Waret évoque l'arrivée de la Préfecture de police de Paris sur Tiktok. Objectif ? Redorer l'image des forces de l'ordre auprès de la jeunesse.
Comédienne, Anne Depetrini est l'invitée de Malika Ménard. Actuellement au théâtre du Point Virgule pour son spectacle "À côté", Anne Depetrini raconte comment elle a réussi à "aller bien", depuis la psy jusqu'à l'exorciste, en passant par le marabout. Sur le plateau de "Souvenirs d'écolier", elle se remémore ses années étudiantes et raconte comment elle est passée du journalisme à l'humour.
Dans "Le Mag", on se rend du côté de Besançon (.) . Implantée depuis plus de 40 ans, l'association "Pari" est un acteur essentiel de l'accompagnement éducatif, social et citoyen. Quels moyens met-elle à disposition pour œuvrer à la réussite scolaire des élèves ? Pour quels résultats ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Sabah Abdouni, directrice de l'association "Pari", et Ismar Obradovac, référent lycéen et chargé de communication de l'association "Pari".
Dans "La Quotidienne", Insa Sané, chanteur, slameur et romancier, est l'invité d'Emmanuel Davidenkoff. Auteur jeunesse, il évoque son nouvel ouvrage, "Ma vie sur une jambe", qui vient de sortir chez Gallimard. Il raconte comment, à la suite d'une maladie, il traverse son enfance sur une jambe.
Anne Depetrini était l'invitée de "Souvenirs d'écolier" ce week-end. Face à Malika Ménard, l'humoriste s'est remémorée ses études et notamment ses années de prépa. Dont elle ne garde visiblement pas un souvenir impérissable...
Ne plus laisser les enfants seuls face à la violence… C’est l'objectif des discussions qui ont lieu au Sénat actuellement. Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Hélène Laubignat, présidente de l'Apel (association nationale des parents d'élèves de l'enseignement libre) et Joëlle Sicamois, directrice de la Fondation pour l'Enfance.
Faire bouger les 18-34 ans…. C’est l'objectif de la campagne “Good Moove”. Claire Chambrier, responsable du développement scientifique et pédagogique chez Aprifel, en dit plus en deuxième partie d'émission.
C'est un enjeu qui façonne la société de demain. Comment inciter davantage les jeunes filles à se tourner vers les filières scientifiques ? Comment mettre en avant leur profil et leurs compétences ? Valérie Ferret, directrice des programmes éducation chez Dassault Systèmes, est l'invitée de Lisa Debernard pour en parler.
Faut-il quitter Instagram après le ralliement de Mark Zuckerberg à Donald Trump ? C'est l'une des questions qui parcourt les trois épisodes de la série "A l'avant-post". Judicaëlle Perrot, réalisatrice et cheffe édito chez On.Suzanne, est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Comment prévenir la violence chez les jeunes ? Si certains adolescents se retrouvent parfois pris dans des comportements violents, il est essentiel de comprendre les mécanismes et les contextes qui les y conduisent. Aujourd’hui, "Le Mag" reçoit Abel Boyi, président de Tous Uniques, Tous Unis, qui nous présentera le travail concret mené sur le terrain par son association. Il est l'invité d'Alix Nguyen pour en parler.
Choisir la bonne filière, celle qui correspond le mieux à notre profil, c’est la question qui revient dès qu’il s’agit d’aborder la plateforme Parcoursup, le magazine "Le Point" dédie un hors série à ce sujet. Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Louise Cunéo, rédactrice en cheffe du service éducation du magazine "Le Point".
L’art du manga est à l’honneur au Musée Guimet, à Paris. Ce genre artistique et littéraire attire toujours autant de passionnés. Estelle Bauer, commissaire de l'exposition "Manga, tout un art", en dit plus en deuxième partie d'émission.
Comment faire dialoguer les mémoires de la déportation et de la Guerre d'Algérie ? Dans son film documentaire "Le Projet", qui sera diffusé sur YouTube en janvier, Margaux Chouraqui, se penche sur l'histoire d'Izio Rosenman, un enfant juif polonais rescapé du camp de concentration de Buchenwald et installé depuis 1956 dans le 13e arrondissement de Paris. Il fait la rencontre de Kamel Chabane, autre enfant du quartier, devenu historien et qui souhaite comprendre la disparition de son père, pendant la Guerre d'Algérie. Pour en parler, Emmanuel Davidenkoff reçoit en plateau sa réalisatrice, Margaux Chouraqui.
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on vous emmène à la rencontre d’une jeune entreprise africaine qui entend changer la façon dont les enfants jouent et apprennent sur le continent. L'entreprise Bokonzi s’est donné pour mission de créer des jeux qui leur ressemblent, qui racontent leur culture, leur quotidien, leur imaginaire. Pour en parler, Alix Nguyen reçoit en plateau son co-fondateur, Andréas Gotiene. Il va nous raconter comment cette aventure est en train de redonner aux enfants d’Afrique des héros, des histoires et des univers qui leur parlent vraiment.
Et si on imaginait bientôt une génération sans tabac ? Une proposition de loi a été déposée pour en interdire la vente aux générations nées après 2014. Nicolas Thierry, député écologiste, est l'invité de Virginie Guilhaume pour en parler.
Qui n’est pas curieux ou fasciné par les momies ? La nouvelle exposition du musée de l’Homme nous fait plonger dans cet univers. Eve Bouzeret, commissaire muséographe, en dit plus en deuxième partie d'émission.
Alex Vizorek est cette semaine l'invité de Malika Ménard dans "Souvenirs d'écolier". Interrogé sur l'avenir de l'école, l'humoriste belge a notamment milité pour la création de cours d'actualité.
Aujourd'hui, "Le Mag" s'intéresse à l'ouvrage de Juliette Speranza, "Nous sommes tous des minorités". Que défend cette enseignante et chercheuse en philosophie ? Comment améliorer l'égalité des chances pour tous et toutes en France ? Qu'est-ce que le fait minoritaire ? Que fait l'État en ce sens ? Elle est l'invitée de Patrice Boisfer pour en parler.
