Système plus inclusif, proximité entre prof et élève… Le système éducatif norvégien est axé sur l'empathie et la bienveillance. La réforme des lycées de 2020 repose sur la compréhension globale, explique Tristan Hauff, professeur dans un lycée public en Norvège. Il insiste sur les bénéfices de créer des ponts entre chaque matière. "Le professeur essaie vraiment d'inclure les jeunes et de faire en sorte que l'enfant se sente bien dans son milieu scolaire", ajoute Christelle Gazzotti-Lundh, professeure des écoles certifiée, spécialité FLE (français langue étrangère).
Aujourd'hui dans le "Mag", on s'envole direction la Norvège ! Le système éducatif de ce pays, le moins densément peuplé d'Europe, est aussi performant que celui ses voisins scandinaves. De la crèche au lycée, le pays porte une grande importance à l'apprentissage en plein air. Quels en sont les bienfaits ? Quelle est la place de la pratique à l'école ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Christelle Gazzotti-Lundh, professeure des écoles certifiée, spécialité FLE (français langue étrangère) et Tristan Hauff, professeur dans un lycée public en Norvège.
Mathilde Wessels sort sa "Loupe", pour faire le point sur le système éducatif norvégien.
Enfin, dans son "Info en +", Mathilde revient sur le périple à vélo d'un jeune garçon. Il s'est lancé le défi de parcourir l'Europe en partant de Lyon pour se rendre en Norvège.
Contrairement à la France, les élèves norvégiens entretiennent une relation de proximité avec leurs professeurs. "Si on connaît la situation personnelle de l’élève, on peut être plus compréhensif", confie Tristan Hauff, professeur dans un lycée public en Norvège. Une relation qui implique aussi, selon lui, des inconvénients. Certains élèves cherchent à tisser une relation d’amitié avec leurs professeurs, en oubliant le rôle et la mission de ces derniers. Il faut dire que le vouvoiement n’existe pas en Norvège. "On arrive tout de même à créer une distance", explique Christelle Gazzotti-Lundh, professeure des écoles certifiée, spécialité FLE (français langue étrangère).
Aimer apprendre et aimer comprendre... Ces qualités ne sont pas toujours récompensées dans notre système éducatif. C'est ce qu'a souhaité mettre en lumière le réalisateur Thomas Loubière dans son documentaire "Profs de fac, la vocation à l'épreuve". Il est l'invité d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Le magazine "Histoire junior" consacre un dossier spécial à Martin Luther, professeur de théologie, à l'origine de la Réforme protestante. Emma Guessel sort son "Antisèche" pour retracer son héritage.
À "L'heure de la récré", Emma nous fait découvrir le body tap avec le chœur des colibris.
En fin d'émission, on pousse les portes de la "Librairie" avec Célie Lutton. Elle a sélectionné pour vous quelques livres jeunesse pour bien démarrer le week-end.
Accompagner les bénéficiaires de l'association, c'est le rôle des éclaireuses chez Alba. En tant que bénévole, Andréa Teles transmet son expérience pour aider les jeunes femmes à s'orienter et à "construire leur réflexion". En tant que Responsable des ressources humaines, elle apporte son expertise en la matière avec bienveillance.
Guerre en Ukraine, pandémie mondiale, inflation, féminicides, harcèlement scolaire... Comment évoquer tous ces sujets d'actualité à nos enfants ? Face à une telle montée de violence, faut-il réellement en parler avec eux ? Comment aborder ces thématiques avec les plus jeunes sans les choquer ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit Jacques Lena, psychiatre et psychanalyste.
Décomplexer les parents, c'est la mission de Solveig Foucher, auteure et psychopraticienne. Elle a écrit un manuel intitulé "À l'intention des parents qui voudraient avoir de l'autorité mais ne savent pas comment". Elle en parle en deuxième partie d'émission.
Est-ce bientôt la fin du bac de philo ? Les élèves ont planché sur cet examen ce mercredi 14 juin. Un examen qui a fait beaucoup parler les internautes. Guillaume Ouattara lève le voile sur cette polémique dans sa chronique "Quoi de neuf sur les réseaux ?".
Il y a 55 ans, le premier spot publicitaire sur petit écran arrivait en France. Plus de liberté, plus de moyens, les années 70 à 90 marquent l'âge d'or de la publicité française. S’il existe désormais des contraintes réglementaires ou de langage, "le digital a ouvert beaucoup d'opportunités", assure Éric Delannoy, le vice-président de What's next partners (WNP). Affichages numériques, publicités sur les réseaux sociaux, influenceurs… Selon David Boagiu, étudiant en 2ᵉ année de BUT information et communication en publicité, les nouveaux supports digitaux étendent le champ des possibles et "ouvrent les portes de la créativité".
Vous rêvez d'être à l'origine de la future pub qui marquera les esprits ? Les métiers de la publicité nécessitent une grande capacité d'"écoute de la problématique", explique Éric Delannoy, le vice-président de What's next partners (WNP). Pourtant, le processus de création est la "partie centrale d'une agence", celle qui "fait rêver les gens", ajoute David Boagiu, étudiant en 2ᵉ année de BUT information, communication en publicité. Il insiste sur l'importance d'avoir la fibre créative pour exercer dans un tel domaine, puisque "savoir dessiner et manier les logiciels", n'est pas suffisant.
Directeur de création, graphiste, chef de publicité, directeur artistique… Zoom sur les métiers de la publicité. Comment intégrer ce secteur très demandé ? Quelles compétences doit-on acquérir à la fin des études pour espérer décrocher un job ? À quoi sert la pub ? Après l'âge d'or de la publicité dans les années 70 à 90, vit-on aujourd'hui une ère du recyclage ou de la créativité ? Quel est l'impact du digital ? Permet-il d'ouvrir le champ des possibles ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Éric Delannoy, le vice-président de l'agence de publicité What's next partners (WNP), et David Boagiu, étudiant en 2ᵉ année de BUT information et communication en publicité.
Dans sa "Loupe", Mathilde Wessels fait un tour d'horizons des métiers de la publicité.
Comment l'intelligence artificielle bouleverse-t-elle le monde de la pub ? Mathilde y répond dans son "Info en +".
Les accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH) sont descendus dans la rue ce mardi pour réclamer une reconnaissance de leur métier et de meilleures conditions de travail. Quand va-t-on (enfin) prendre en considération leurs requêtes ? Cécile Stassi, AESH et membre du FSU-SNUIPP (syndicat national unitaire des instituteurs, professeurs des écoles et PEGC), Chaker Brahmi et Nadia, tous deux AESH.
Retrouvez, en deuxième partie d'émission, Malika Ménard et son invitée, Zoé la Modeuze. La jeune maman revient sur son parcours, de clerc de notaire à influenceuse, suivie, aujourd'hui, pas plus de 168 000 abonnés sur Instagram.
Suite à un appel national, les accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH) ont fait grève, ce mardi 13 juin. Ils réclament un "vrai statut" et une formation à la hauteur de leur métier. Cécile Stassi, AESH et membre du syndicat national unitaire des instituteurs, professeurs des écoles et PEGC (FSU-SNUIPP), explique concrètement pourquoi les AESH étaient dans la rue.
Venu tout droit du Brésil, le foot volley mêle football et beach-volley. Le but ? Renvoyer le ballon à l'aide de toutes les parties du corps, excepté les mains. "Beaucoup de footeux se mettent au foot volley, mais les meilleurs joueurs ne viennent pas du foot. Tous les gestes du footvolley sont contraires au foot", explique Mickaël Tipveau, le président de l'association Paris Footvolley. Selon lui, ce sport permet de travailler la coordination et la mobilité. "Le fait de jouer sur le sable muscle des parties du corps, chose qu’un joueur de foot ne muscle pas sur un terrain de football", raconte Leandro Guimaro, joueur de footvolley.