Les élections européennes approchent à grands pas et elles s'annoncent très mouvementées, du 6 au 9 juin 2024. Les élus cherchent à mobiliser la jeunesse, qui peine à se rendre aux urnes. Pourquoi se désintéresse-t-elle de la politique ? Comment y remédier ? Une coopérative apolitique a trouvé une solution pour initier les élèves aux enjeux du débat politique. Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit en plateau Quentin Lebreton, co-président de "Déb'Acteur".
Apprendre à mieux maîtriser les écrans, c'est ce que suggère le Centre pour l'éducation aux médias et à l'information (CLEMI) dans son "Focus" du jour.
L'apparence en entretien d'embauche peut faire la différence. C'est ce que nous explique Dorith Naon dans son "Idée derrière la tech".
Se glisser dans la peau d'un député grâce à un jeu de rôle et débattre d'une proposition de loi devant une assemblée composée de partis politiques, c'est ce que propose Déb'acteur. Cette coopérative apolitique permet d'inciter les jeunes, dès 14 ans, à s'intéresser à la politique et à la démocratie participative. Pour Quentin Lebreton, son co-président, cette immersion permet de "créer de l'empathie politique".
Au lycée, à 17 ans seulement, il lance une plateforme d'entraide pour réduire les inégalités scolaires, en plein confinement. Depuis, ExtraStudent, considéré comme le premier réseau d'entraide entre lycéens et étudiants, rassemble plus de 250 000 utilisateurs. Comment a-t-il réussi à créer son entreprise ? Comment se déroule une levée de fonds ? Jules Simiand Brocherie, fondateur d'ExtraStudent, est l'invité de Philippine Dolbeau pour en parler.
Il fait voyager ses 217 000 abonnés sur YouTube en vulgarisant la géopolitique. Xavier Terrade retrace le parcours de Mister Geopolitix dans le "Focus" du jour.
Dans son "Idée derrière la tech", Isabelle Rouhan fait le point sur le métier d'ambassadeur de la souveraineté numérique.
En plein confinement, alors que les salles de classe sont fermées, Jules Simiand Brocherie, élève de terminale, a l'idée de créer un réseau social où lycéens et étudiants peuvent s'entraider et partager des conseils sur l'orientation. Depuis, ExtraStudent rassemble plus de 250 000 utilisateurs. Objectif ? "Réduire les inégalités scolaires", assure-t-il.
Un élève sur trois dans le monde est victime de violences de genre en milieu scolaire, selon les estimations de l'UNESCO. Sexuelles, physiques ou psychologiques, ces violences ont de graves répercussions sur la santé mentale des jeunes, et peuvent même conduire à l'échec scolaire. Diane Richard, porte-parole de l'ONG Plan international France et Auriane Dumesnil, co-fondatrice de "Pépite Sexiste", sont les invitées de Virginie Guilhaume pour en parler.
Depuis la mi-janvier, les élèves peuvent inscrire leurs vœux d'orientation sur Parcoursup. Pour les accompagner dans cette démarche, qui n'est pas toujours évidente, l'entreprise "Myfuture" propose ses conseils. Thomas Ferré, responsable des relations avec les établissements scolaires, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, Guillaume Buan sort son "Agenda" et vous propose une sélection d'activités culturelles à faire en famille.
Selon une étude du collectif "Maths & Sciences", les enseignements scientifiques enregistrent une baisse de 19% des effectifs de filles, depuis 2019. Pour Auriane Dumesnil, co-fondatrice de "Pépite Sexiste", les stéréotypes qui persistent autour de ces filières ont un "vrai impact. Il y a très peu de femmes dans le monde du numérique et des sciences actuellement, c'est problématique".
Près d'une jeune femme sur trois a déjà eu peur d'être victime de violences de genre à l'école. C'est le constat du baromètre mené par Opinionway pour l'ONG Plan international France, paru fin janvier. 5% des jeunes femmes, de 13 à 18 ans, ont même "déclaré avoir raté l'école par peur de ces violences à l'école", souligne Diane Richard, porte-parole de l'ONG Plan international France. Un phénomène qui impacte directement leur scolarité, explique-t-elle.
C'est un sujet qui déchaîne les passions et dont on parle quotidiennement sur SQOOL TV ! L'histoire de l'éducation possède enfin sa bande dessinée grâce à notre invité, qui offre un voyage dans le temps. Comment l'éducation a-t-elle évolué ? Les écoles ont-elles existé à la préhistoire ? Quelle place accorde-t-on à l'éducation des filles ? Pour en parler, Emmanuel Davidenkoff reçoit Jean-Yves Seguy, maître de conférence en sciences de l'éducation et auteur du livre "L'incroyable histoire de l'éducation".
La monnaie de Paris va devoir refabriquer 27 millions de pièces. Cécile Fournier explique tout dans son "Antisèche".
Dans son "Heure de la récré", Cécile célèbre la Journée du puzzle.
En fin d'émission, on retrouve le "Cours particulier" de Marie Ollivier. Elle dresse le portrait du pédagogue suisse Johann Heinrich Pestalozzi.
Un élève sur trois dans le monde est victime de violences de genre en milieu scolaire, selon les estimations de l'UNESCO. Sexuelles, physiques ou psychologiques, ces violences ont de graves répercussions sur la santé mentale des jeunes, et peuvent même conduire à l'échec scolaire. Diane Richard, porte-parole de l'ONG Plan international France et Auriane Dumesnil, co-fondatrice de "Pépite Sexiste", sont les invitées de Virginie Guilhaume pour en parler.
Depuis la mi-janvier, les élèves peuvent inscrire leurs vœux d'orientation sur Parcoursup. Pour les accompagner dans cette démarche, qui n'est pas toujours évidente, l'entreprise "Myfuture" propose ses conseils. Thomas Ferré, responsable des relations avec les établissements scolaires, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, Guillaume Buan sort son "Agenda" et vous propose une sélection d'activités culturelles à faire en famille.
Le 27 janvier, c'est la Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l'Holocauste, date symbolique, car elle correspond à l'anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz-Birkenau. Quand on parle des camps, on pense spontanément à ceux situés en Allemagne ou en Pologne. Le camp Natzweiler-Struthof, où sont détenues plus de 46 000 personnes entre 1941 et 1944, est l’unique camp de concentration nazi, implanté en France.
Guillaume d'Andlau, ancien directeur du centre européen du résistant déporté, consacre un ouvrage bouleversant sur ce sujet, "Le KL Natzweiler-Struthof - un camp de concentration en Alsace annexée". Il est l'invité d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Dans son "Antisèche", Brandon Waret évoque l'histoire du Carnaval de Venise, événement festif qui s'ouvre ce week-end.
Pour son "Heure de la récré", Brandon retrace le parcours d'une championne d'échecs qui n'a que huit ans.
En fin d'émission, on pousse les portes de la "Librairie" pour retrouver Célie Lutton. Notre libraire propose une sélection de livres jeunesse, en écho à la Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l'Holocauste.
Ce fut l'un des camps de concentration nazis les plus meurtriers de la Seconde guerre mondiale. Le camp de Natzweiler-Struthof, construit en Alsace en 1941, est le seul camp situé sur le territoire français. Dans son ouvrage "Le KL Natzweiler-Struthof - un camp de concentration en Alsace annexée", Guillaume d'Andlau, ancien directeur du centre européen du résistant déporté, décrit les conditions de vie du prisonnier qui "perd son identité", et qui devient "un morceau". Entre 1941 et 1945, sur les 52 000 détenus, plus de 17 000 sont morts.
À quelques mois du coup d'envoi des Jeux olympiques en France, plus de 2000 étudiants devront quitter leur logement CROUS, réquisitionné pour les soignants, pompiers, forces de l'ordre et membres de la sécurité civile. En compensation, ils recevront une indemnité de "100 euros" et "deux places" pour assister à "des épreuves olympiques", a déclaré Sylvie Retailleau, ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche, fin octobre. "Je trouve cela honteux. Je ne comprends pas comment une idée pareille a pu germer", dénonce Ian Brossat. Pour lutter contre la précarité étudiante, le sénateur de Paris propose quelques solutions pour accompagner les jeunes.