Malgré le contexte inflationniste, Clermont-Ferrand a fait le choix de ne pas répercuter le prix des denrées alimentaires dans les cantines scolaires. C’est ce qu’explique Cécile Audet, adjointe au maire de Clermont-Ferrand chargée des politiques éducatives, sur le plateau du "Mag".
"Pourquoi l'école va-t-elle si mal ?", c'est le titre de l'ouvrage de Gilles Déka. Après avoir passé plus de quarante ans au sein de l'Éducation nationale et exercé l'ensemble des métiers, de professeur, à chef d'établissement en passant par inspecteur, il dresse un constat amer et accablant de l'institution. Il est l'invité de Virginie Guilhaume pour en parler.
En deuxième partie d'émission, on poursuit le débat pour comprendre pourquoi le métier d'enseignant n'attire plus. Sylvain Bersinger, auteur du livre "Et ça vous étonne qu'on ne trouve plus de profs", en parle sur notre plateau.
Dans sa chronique "Vu à l'étranger", Guillaume Buan fera un point sur la crise des crèches privées.
Aujourd'hui, "Le Mag" vous emmène en Auvergne-Rhône-Alpes découvrir les initiatives pédagogiques à Clermont-Ferrand. La ville a fait sa rentrée avec un objectif : faire en sorte que les familles ne souffrent pas de l'inflation galopante. Comment a-t-elle géré la rentrée ? Quels dispositifs la municipalité a-t-elle mis en place pour soutenir les parents d'élèves et les écoles ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Cécile Audet, adjointe au maire de Clermont-Ferrand chargée des politiques éducatives.
En fin d'émission, dans sa "Loupe", Irina Capron fera un point sur les villes étudiantes les moins chères de France. Et vous le verrez, Clermont-Ferrand est plutôt bien placée.
Rapport à l’argent, gestion d’un porte-monnaie, sécurité des achats en ligne… Pour Raphaël Leprette, CEO et co-fondateur de Money Walkie, les enfants, dès l’âge de six ans, s’intéressent à ce sujet, parce qu’ils voient leurs parents effectuer des achats. À partir de 10 ans, les enfants commencent à faire quelques dépenses, notamment pour les grandes occasions. Il rappelle néanmoins qu’il est nécessaire d’éduquer ses enfants à ce sujet, car ils ont une vision "assez sournoise" de l’argent.
En France, 80 % des parents décident de donner de l'argent de poche à leurs enfants. Objectif ? Les éduquer à la finance et leur permettre d'acquérir une autonomie financière. Des startups ont décidé d'accompagner les familles en ce sens. C'est le cas de notre invité. Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit en plateau Raphaël Leprette, CEO et co-fondateur de Money Walkie, un porte-monnaie sans contact destiné aux enfants.
Elle a remporté le prix Goncourt en novembre 2022 pour son livre "Vivre vite". Dans son "Focus" du jour, Xavier Terrade dresse le portrait de l'écrivaine Brigitte Giraud.
Dans son "Idée derrière la tech", Dorith Naon évoque le droit à la déconnexion et de l'impact des groupes WhatsApp dans la vie personnelle des salariés.
Selon un rapport récent publié par l’UNEF, le syndicat étudiant, le coût de la vie étudiante a augmenté de 16,8% sous le premier quinquennat d’Emmanuel Macron. Si la rentrée scolaire se place sous le signe de l’inflation, Clermont-Ferrand se hisse à la dixième place du classement des villes les moins chères de France. Irina Capron en dit plus dans sa "Loupe".
Un porte-monnaie sans contact pour les enfants de 6 à 15 ans, c’est l’idée très originale de Raphaël Leprette, CEO et co-fondateur de Money Walkie. Un outil très ludique qui permet aux enfants de payer chez les commerçants en toute sécurité. Les parents peuvent suivre en temps réel leur consommation grâce à une application. Selon Raphaël Leprette, ce porte-monnaie offre la possibilité aux enfants de les "faire grandir" puisqu’ils apprennent à gérer leur argent. Il raconte également comment cette idée lui est venue.
Les Français ne sont pas les meilleurs en langues étrangères. Pour permettre aux enfants de s'améliorer, de nombreuses entreprises ont mis au point des applications très ludiques. C'est le cas de "Pili pop" et de "Holy Owly", lancées par nos deux invitées. Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit en plateau Elsa Prieto, co-fondatrice de "Pili pop" et Julie Boucon, co-fondatrice de "Holy Owly".
Il n'a que 17 ans et a déjà gagné un prix en 2022 pour son invention. Il a conçu un drone capable de détecter les mines antipersonnel. Xavier Terrade dresse le portrait d'Igor Klymenko dans son "Focus".
Le contrat à durée indéterminée (CDI) fait-il toujours rêver la jeune génération ? Dorith Naon répond à cette question dans son "Idée derrière la tech".
"On s’est rendu compte qu’à l’école, on pratiquait très peu l’oral", constate Elsa Prieto, co-fondatrice de Pili pop. Pour améliorer le niveau d’anglais ou d’espagnol des 5-10 ans, elle a donc eu l’idée de lancer l’application Pili pop. Objectif ? "Les faire parler", explique-t-elle.
“Proposer aux enfants d’avoir leur propre programme personnalisé", c’est la solution offerte par l’application Holy Owly pour améliorer le niveau de langues des élèves, de 3 à 12 ans. Julie Boucon, co-fondatrice de Holy Owly, explique comment l’adaptative learning améliore l’apprentissage. L’application va d’ailleurs évoluer très prochainement pour proposer de nouvelles fonctionnalités. Objectif ? Permettre aux enfants de valider les notions non acquises.
Aujourd'hui, dans "Le Mag", zoom sur la ville de Lille, dans les Hauts-de-France. Dans cette ville, l'éducation est l'une des priorités. Pourquoi la capitale des Flandres s'inscrit-elle dans une démarche écoresponsable ? Quels sont les moyens mis en œuvre ? Pourquoi la municipalité a-t-elle décidé de rendre les fournitures scolaires gratuites ? Quels sont les projets éducatifs à venir ? Pour y répondre, Patrice Boisfer reçoit Charlotte Brun, adjointe au maire de Lille.
Irina Capron sort sa "Loupe" pour évoquer l'initiative de l'école de journalisme de Lille pour éduquer les jeunes aux médias.
Le Conseil d'État a confirmé ce jeudi l'interdiction de l'abaya dans les établissements scolaires. Une décision qui donne raison au ministre de l'Éducation nationale, Gabriel Attal. La plus haute juridiction administrative a estimé que le port de l'abaya ou du qamis (équivalent masculin), s'inscrivait dans "une logique d'affirmation religieuse". Olivier Beaufrere, secrétaire national éducation et pédagogie du SNPDEN-UNSA (Syndicat national des personnels de Direction de l'Éducation Nationale, rattaché à la fédération UNSA), rappelle que le port de ces tenues dans les écoles était en nette augmentation l'année dernière. "Nous attendions une position que nous pouvions tenir et suivre", souligne-t-il. Il estime que le nouveau ministre s'est "engagé".