En France, environ 24 000 mineurs résident dans des lieux de privation de liberté (établissements pénitentiaires et psychiatriques, centres éducatifs fermés). Dominique Simonnot, la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté (CGLPL), dénonce le manque de cours dispensés pour ces mineurs. Elle trouve "dommage qu'on ne saisisse pas" le temps de la prison pour proposer un temps d'apprentissage, "même s'il est court". Elle estime d'ailleurs que ces mineurs sont "laissés à l'abandon".
Expérimentés depuis janvier 2024 dans 1 200 écoles, de la maternelle au CM2, en France, les cours d'empathie seront généralisés à l'ensemble des écoles primaires dès septembre. Ce type d'enseignement doit notamment permettre de lutter contre le harcèlement scolaire. Malene Rydahl, consultante en bien-être et performance et autrice, rappelle que cela permet "de comprendre l'empathie émotionnelle, celle de comprendre les émotions de l'autre". Les enfants peuvent apprendre également comment les émotions naissent. Selon elle, les cours d'empathie sont bénéfiques pour "réduire les tensions", notamment en entreprise.
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on se rend en Seine-Saint-Denis à Coubron. Cette commune s'apprête à adopter la tenue unique à l'école. Comment se déroulent les concertations entre les élus et les parents d'élèves ? Quelle est l'approche pédagogique proposée ? Comment la commune gère-t-elle l'accueil des petits ? Du côté de la santé, le maire de Coubron, Ludovic Toro, est également très investi sur cette thématique. Il est d'ailleurs le président de la commission "Santé et Solidarités" de la Métropole du Grand Paris. Quels sont ses objectifs ? Il est l'invité de Patrice Boisfer pour en parler.
Et si le vivre-ensemble n'était pas un fardeau, mais un horizon ? Depuis le début de l'année 2024, 1200 écoles, de la maternelle au CM2, expérimentent les cours d'empathie. Que contiennent-ils ? Quel est l'objectif de ce type d'enseignement ? Notre invitée, elle, milite depuis plusieurs années, pour l'introduction des cours d'empathie à l'école. Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit Malene Rydahl, consultante en bien-être et performance et autrice. 
Il est le créateur d'une chaîne YouTube de vulgarisation philosophique. Dans son "Focus", Jean Martinho dresse le portrait de Cyrus North.
Comment accompagner les enfants confrontés à des épisodes de stress ? Milly Addaé livre ses conseils dans son "Idée derrière la tech".
Selon le dernier rapport de la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté, Dominique Simonnot, les mineurs, résidant dans ces lieux, ont quatre à cinq fois moins d'heures de cours que les autres élèves. Elle est l'invitée de Virginie Guilhaume pour en parler en plateau. 
Malgré les progrès de la science et de la médecine, les cancers restent la principale cause de décès par maladie chez l'enfant.  En cette journée internationale de lutte contre le cancer de l'enfant, on reçoit Frédéric Sotteau, président de l'association "Sourire à la vie", en deuxième partie. Son association apporte des solutions pour améliorer le quotidien des enfants malades. 
En fin d'émission, Guillaume Buan évoque le "No spend february" dans sa chronique "Quoi de neuf sur les réseaux ?".
Qu'en est-il de l'inclusion à l'école, à l'heure où les AESH militent pour une reconnaissance de leur statut et de leur métier ? Ces accompagnants d'élèves en situation de handicap (AESH) sont-ils assez nombreux sur le terrain ? Que peut-on faire pour aider ces enfants ainsi que le personnel éducatif ? Pour en parler, Loïc Landrau reçoit Elisabeth Allain Moreno, secrétaire générale du Syndicat des enseignants – UNSA et Sonia Ahehehinnou, vice-présidente de l'UNAPEI (Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis). 
Que fait la France pour lutter contre les troubles du comportement alimentaire (TCA) ? Nos deux invitées ont fondé une association, "Je danse – Annasso", pour accompagner les jeunes concernés. Natasha Soria et Chiara Soria, les co-fondatrices, en parlent en plateau en deuxième partie. 
En fin d'émission, Malika Ménard reçoit Eve Gilles, Miss France 2024, qui évoque ses "Souvenirs d'écolier".
En l'espace de sept ans, le nombre d'accompagnants d'élèves en situation de handicap (AESH) a été multiplié par cinq. On compte 432 000 AESH en 2023, contre 321 000 en 2017. En 2004, ils étaient 134 000. Pour la vice-présidente de l'UNAPEI (Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis), la compensation ne suffit pas pour accompagner ces enfants en situation de handicap. Selon Sonia Ahehehinnou, il ne faut pas oublier "l'accessibilité, l'organisation de tous les professionnels, de tous les acteurs autour d'un accompagnement individuel". Recruter davantage d'AESH ne règlera pas la question de l'inclusion, explique-t-elle.
"Il faut que l'employeur et le ministère de l'Éducation nationale cessent de se cacher derrière les accompagnants d'élèves en situation de handicap (AESH) comme seule solution à la gestion des élèves à besoins éducatifs particuliers", demande Elisabeth Allain Moreno, secrétaire générale du Syndicat des enseignants – UNSA. Selon elle, les AESH ne peuvent pas répondre à tous les enjeux de l'inclusion, car "il y a des compétences qui relèvent du médical".
L’année 2023 a été marquée par un triste record à Marseille. 51 homicides, dont 49 ont été liés au trafic de drogue. C'est le triste bilan annoncé par les autorités sur l'agglomération marseillaise. Les victimes sont de plus en plus jeunes. Comment freiner la spirale de la violence dans la cité phocéenne ? Sur le terrain, l'association "Conscience" mène des campagnes de prévention et cherche à redorer l'image des jeunes issus des quartiers nord. Elle accompagne également les familles des victimes. Pourquoi ces jeunes sombrent-ils dans la délinquance ? Quelles solutions l'État apporte-t-il ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Amine Kessaci, président de l'association "Conscience" et Sabrina Sebaihi, députée Europe Écologie Les Verts (EELV)- Nupes des Hauts-de-Seine. 
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen met en lumière le récit d'un professeur des quartiers nord de Marseille. Il raconte son quotidien dans un livre.
Pour attirer plus d'étudiants indiens sur le sol français et renforcer les liens entre la France et l'Inde, Emmanuel Macron a annoncé vouloir accueillir 30.000 étudiants indiens d'ici 2030. Si notre pays "bénéficie d'une image très positive", indique Fatiha Kammoussi, attachée de coopération éducative à l'Institut français en Inde, des stéréotypes persistent.
Le 25 janvier dernier, Emmanuel Macron a rencontré le Premier ministre Narendra Modi en Inde. Dès son arrivée, le président de la République a déclaré son souhait d'accueillir "30.000 étudiants indiens pour 2030" en France. À travers cette annonce, il cherche à consolider les relations entre les deux pays. Une nouvelle qui a été bien accueillie par Fabien Chareix, attaché de coopération scientifique et universitaire à l'Institut français en Inde. Si "l'objectif est ambitieux", il estime que "cela placerait l'Inde sur le devant de la scène".
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on part en Inde. Lors de sa visite en Inde, Emmanuel Macron a milité pour renforcer la coopération entre les deux pays. Le président de la République souhaite d'ailleurs accueillir 30 000 étudiants indiens d'ici 2030 en France. Pourquoi cette annonce ? Comment la jeunesse indienne perçoit-elle la France ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Fabien Chareix, attaché de coopération scientifique et universitaire à l'Institut français en Inde et Fatiha Kammoussi, attachée de coopération éducative à l'Institut français en Inde. 
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen met en avant une initiative solidaire de lycéens du Calvados pour des indiens.
