Aujourd'hui, dans "Le Mag", on se penche sur le harcèlement scolaire. Plus d'un enfant par classe a déjà été victime de harcèlement en France. Pour éradiquer ce fléau, le gouvernement a déjà annoncé la mise en place de mesures concrètes. Le programme de lutte contre le harcèlement à l’école, pHARe, généralisé dans les écoles et collèges depuis la rentrée 2022, a été étendu aux lycées depuis septembre 2023. Pour quels résultats ? En quoi consiste-t-il ? Quelles sont les nouvelles annonces prévues pour lutter contre ce fléau ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Antoine Métayer, ancien professeur de l'Éducation nationale, thérapeute spécialiste du harcèlement scolaire.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen met en lumière le combat d'Hugo, qui a fondé une association pour lutter contre le harcèlement scolaire.
Exit le bitume dans les cours de récré, place aux espaces verts. À Tours, en Indre-et-Loire, la municipalité a lancé l'opération "Récré en herbe" pour "végétaliser, débitumer et aménager les cours d'écoles", détaille Franck Gagnaire, adjoint au maire de la ville de Tours. L'objectif est également de "lutter contre les ilots de chaleur", "promouvoir la biodiversité" mais également de faire classe dehors, souligne-t-il.
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on part à Tours, situé dans le département d'Indre-et-Loire. Dans cette ville, concentrée sur sa transition énergétique, comment se déroule la rénovation du bâti scolaire ? Quels sont les projets éducatifs déployés ? Avec quels résultats ? Qu'en est-il du numérique à l'école ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Franck Gagnaire, adjoint au maire de la ville de Tours.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen évoque l'initiative "Orchestre à l'école".
Redonner le goût des mathématiques aux jeunes en créant un "univers de science-fiction", c'est ce que propose Schooltopia. "À travers la bande dessinée, on va appliquer les mathématiques à l'intérieur de l'histoire", détaille Leila Ancelin, fondatrice et CEO de Schooltopia. Toshi, le personnage principal, va accompagner les jeunes dans l'apprentissage des mathématiques grâce à des exercices interactifs.
"Bon élève" mais "un peu dissipé" parce qu'il "aimait faire rire", l'humoriste Younes Depardieu évoque sa scolarité sur le plateau de "Souvenirs d'écolier". S'il avoue qu'il n'arrivait pas à "rester en place", l'humoriste a tout de même réussi à décrocher son baccalauréat et son BTS. Aujourd'hui, il a lancé sa carrière solo, avec un premier one-man show au Point Virgule à Paris.
De nombreux entrepreneurs français ambitionnent de révolutionner l'éducation grâce au numérique. C'est le cas de Leila Ancelin, fondatrice et CEO de la plateforme Schooltopia. Elle a conçu un outil innovant pour faire enfin aimer les maths. Elle est l'invitée de Philippine Dolbeau pour en parler.
Mieux maîtriser le numérique tout en adoptant une consommation raisonnable, c'est possible. Le Centre pour l’éducation aux médias et à l’information (CLEMI) livre ses recommandations dans le "Focus" du jour.
Quel est l'impact des réseaux sociaux dans notre vie quotidienne ? Dorith Naon en dit plus dans son "Idée derrière la tech".
Oxana Melnychuk, ukrainienne réfugiée en France, est maman. À son arrivée en France, elle raconte comment sa fille a été prise en charge par l'école française. Un assistant pédagogique a d'ailleurs accompagné au mieux sa fille. Pour elle, la scolarisation a été un "bol d'air frais".
Le grand public l'a découvert sur YouTube il y a quelques années grâce à son duo comique avec Bambi. L'humoriste Younes Depardieu est l'invité de Malika Ménard. Sur le plateau de "Souvenirs d'écolier", il évoque ses premiers pas dans l'humour et son premier one man show au Point Virgule à Paris. De son enfance à Châteauroux (Indre), en passant par sa scolarité et la mort de son frère, Younes Arbouja (son vrai nom), évoque ses souvenirs et son enfance difficile.
À la veille de la triste date du 24 février, début de la guerre en Ukraine il y a deux ans, l'équipe du "Grand JT" se concentre sur celles et ceux qui vivent ce conflit et cet exil. Comment les parents réfugiés ukrainiens gèrent-ils la scolarité de leurs enfants en France ? Comment les enfants se sentent-ils ? Que fait la France pour accompagner au mieux ces familles ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit Oxana Melnychuk, ukrainienne réfugiée en France et maman, et Bertrand Delprat, gérant de l'entreprise Calidris qui salarie des réfugiés ukrainiens.
Comprendre la vie d'un enfant sous le règne de Louis IX, c'est ce que propose l'illustrateur Gilles Bonotaux, dans son ouvrage "Quand j'étais petite au Moyen Âge". Il en parle en deuxième partie.
Ouverture du Salon de l'agriculture, fête du citron à Menton... En fin d'émission, Loïc Laudrau ouvre son "Agenda" pour évoquer les sorties culturelles à faire en famille.
Chaque année, près de 600 enfants de 25 classes partent gratuitement en vacances, annonce Jean-Philippe Gautrais, maire de Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne). Ce dispositif, lancé en 2019, propose aux élèves, "quelle que soit l'origine sociale", de "partager un moment, en collectivité, à la montagne ou à la mer", détaille-t-il. Ces classes transplantées permettent de créer des liens entre professeurs et élèves, ce qui favorise "l'apprentissage du vivre-ensemble".
118,5 millions de filles dans le monde, entre 6 et 18 ans, ne sont pas scolarisées. C'est le constat accablant de l'ONG Plan International France. Au Sahel, elles sont 4 millions à avoir abandonné l'école. Les raisons sont multiples, rappelle Thiffanie Rodriguez, consultante en genre et éducation à l'Institut international pour la planification et l'éducation (IIEP) de l'UNESCO. Mariages précoces, violences de genre en milieu scolaire, violences sexuelles ou physiques... Tous ces éléments "sont des entraves à la scolarisation et à la réussite des filles", explique-t-elle. Il ne faut pas non plus oublier les garçons qui peuvent être concernés par la déscolarisation.
"La question de l'alimentation est importante pour la santé de nos enfants, et on y attache énormément d'importance", souligne Jean-Philippe Gautrais, maire de Fontenay-sous-Bois. La commune du Val-de-Marne a d'ailleurs multiplié les initiatives en ce sens. 30 000 petits déjeuners ont déjà été distribués gratuitement. 5000 repas par jour sont également proposés aux élèves et composés essentiellement de produits bio et locaux, explique le maire. La commune accorde aussi une importance à l'égalité : "1000 enfants mangent gratuitement à la cantine".