Précarité, maltraitance, rémunération… Suzanne Nijdam, la porte-parole de l’association nationale des étudiant.e.s sages-femmes (ANESF), dénonce les conditions de travail des étudiants sages-femmes. Elle rappelle qu'en 2023, 61% des étudiants de cette filière ont déjà ressenti de la maltraitance.
Précarité, maltraitance, rémunération… Suzanne Nijdam, la porte-parole de l’association nationale des étudiant.e.s sages-femmes (ANESF), dénonce les conditions de travail des étudiants.
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Comment se faire une place dans un milieu très masculin ? Comment attirer les femmes dans le secteur de la cybersécurité ? Pourquoi cette filière est-elle porteuse ? Yasmine Douadi, la CEO et fondatrice de Riskintel Média, est l'invitée de Philippine Dolbeau pour en parler.
Dans son "Focus", le CLEMI (Centre pour l'éducation aux médias et à l'information) vous livre ses conseils pour mieux utiliser les outils numériques.
Quelles solutions peut-on proposer aux LGBTQ+ en entreprise ? Dorith Naon y répond dans son "Idée derrière la tech".
"Le diplôme pèse très fortement dans les destinées individuelles. En France, on vous demande de quelle école vous sortez", constate Amaury Barthet, consultant en enseignement supérieur et recherche. Sur le plateau de "La Quotidienne," il compare notamment le système français avec celui de nos voisins allemands. Son premier roman, "Le diplôme", relate le parcours de la jeune Nadia, à qui il manque le précieux sésame pour "lui ouvrir les portes d’un avenir meilleur".
Dès la première, 45% des filles renoncent aux cours de mathématiques. C'est ce que révèle un rapport de la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP) paru en 2021. Selon Amina Khelil, présidente de D-Phialpha, les filles se détournent des filières scientifiques à cause des idées reçues, véhiculées dans la société. Il faut donc prendre conscience de l'existence de ces préjugés, pour ensuite "trouver des solutions". Dans son ouvrage "Tout le monde peut être bons en maths", elle livre des clés pour rendre les mathématiques accessibles à toutes et tous.
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on se penche sur l'orientation des élèves. Tous les collèges doivent, cette année, inscrire dans l'emploi du temps des jeunes, un moment pour découvrir les métiers. Une activité qui devra se faire dès la cinquième. Bon nombre d'établissements ont déjà testé ce dispositif. Qu'en ont-ils pensé ? Comment faire en sorte d'intéresser les élèves à l'orientation dès le plus jeune âge ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Christelle Meslé-Génin, la présidente de l’association JobIRL.
Dans sa "Loupe", Irina Capron fait le point sur l'orientation, un sujet déjà bien présent à l'école.
Français, maths, histoire-géographie… En France, "l'éducation est très académique", constate Christelle Meslé-Génin, la présidente de l’association Job IRL. Selon elle, le système éducatif laisse peu de place à l'orientation, qui "marche mal en France", depuis dix ans.
Pour inspirer les jeunes et leur donner l’envie d’entreprendre, l’association "100 000 entrepreneurs" organise des rencontres entre dirigeants d’entreprises et élèves. Cela permet aux jeunes "de se poser les bonnes questions", souligne Béatrice Viannay-Galvani, déléguée générale de l’association. Selon elle, cette initiative est essentielle pour leur orientation. "100 000 entrepreneurs" souhaite "généraliser" cette action pour toucher 650 000 jeunes par an.
Entretien et rénovation des écoles, orientation… La région possède de nombreuses prérogatives en matière d’éducation. Dans les Hauts-de-France, plus de 1700 ambassadeurs des métiers rencontrent des jeunes pour les aider dans leur orientation. Pour Manoëlle Martin, vice-présidente de la région Hauts-de-France en charge de l’éducation, de l’orientation et des lycées, ce système "est une bonne chose" pour que les jeunes découvrent "tous les métiers".
Aujourd’hui, dans "Le Mag", on s’intéresse à la fédération "Des territoires aux grandes écoles", qui regroupe 52 associations locales. Objectif commun ? Favoriser l’égalité des chances entre élèves et les inciter à intégrer une grande école. Grands oubliés de la République, les territoires ruraux lancent des initiatives innovantes en faveur de l’éducation. Quelle est la place du numérique dans ces territoires ? Pour quels résultats ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Bixente Etcheçaharreta, fondateur de la fédération "Des territoires aux grandes écoles" et conseiller régional de la Nouvelle Aquitaine, et Margot Lecoeur, présidente de cette même fédération et élève-avocate.
Dans sa "Loupe", Irina Capron en dit plus sur le "collectif mentorat".
Cela fait dix ans que ces 1500 membres œuvrent au quotidien pour favoriser l’égalité des chances, partout sur le territoire. Grâce à la fédération "des territoires aux grandes écoles", qui regroupe plus de 50 associations locales, des étudiants issus des zones rurales, peuvent se projeter et oser intégrer des filières sélectives. Margot Lecoeur, présidente de la fédération, en dit plus.
Permettre aux jeunes issus de zones rurales d’accéder aux grandes écoles pour réaliser tout leur potentiel, c’est la mission de la fédération "des territoires aux grandes écoles". Née en 2023, elle regroupe plus de 50 associations locales unies. Ses membres interviennent régulièrement dans les lycées des territoires pour informer les élèves sur l’orientation. Objectif ? Casser les préjugés et encourager les étudiants à choisir des filières sélectives. Bixente Etcheçaharreta, fondateur de la fédération, explique pourquoi ces actions sont essentielles.