Dès la première, 45% des filles renoncent aux cours de mathématiques. C'est ce que révèle un rapport de la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP) paru en 2021. Selon Amina Khelil, présidente de D-Phialpha, les filles se détournent des filières scientifiques à cause des idées reçues, véhiculées dans la société. Il faut donc prendre conscience de l'existence de ces préjugés, pour ensuite "trouver des solutions". Dans son ouvrage "Tout le monde peut être bons en maths", elle livre des clés pour rendre les mathématiques accessibles à toutes et tous.
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