Lancé en janvier 2018, en remplacement de la plateforme APB, Parcoursup fait couler beaucoup d'encre. Un rapport de la Cour des comptes, paru en 2020, pointe du doigt l'opacité de la plateforme, en ce qui concerne le fonctionnement des commissions d'examen des vœux et leurs critères de classement. Pour Frédérique Alexandre-Bailly, directrice générale de l'ONISEP, "il n'y a pas d'algorithme derrière Parcoursup. Il n'y a pas d'algorithme qui trie les candidatures". Sur le plateau de "L'École du futur", elle donne son point de vue.
Tous les jours, L'École du futur et ses experts vous présentent, décryptent et testent pour vous les technologies mises au service de l’éducation.