En décembre dernier, Gabriel Attal, ministre de l'Éducation nationale, annonçait le déploiement d'une intelligence artificielle pour accompagner les lycéens dans leur apprentissage du français et des mathématiques. Son objectif ? Relever le niveau des élèves et provoquer un "choc des savoirs". "L'intelligence artificielle est avant tout un processus d'automatisation numérique, et comme dans tout processus d'automatisation, il y a une perte de savoirs", rappelle Anne Alombert, membre du Conseil national du numérique. Elle s'interroge notamment sur la manière dont on utilise "ces outils" dans le "développement" des capacités des élèves.
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