En France, environ 24 000 mineurs résident dans des lieux de privation de liberté (établissements pénitentiaires et psychiatriques, centres éducatifs fermés). Dominique Simonnot, la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté (CGLPL), dénonce le manque de cours dispensés pour ces mineurs. Elle trouve "dommage qu'on ne saisisse pas" le temps de la prison pour proposer un temps d'apprentissage, "même s'il est court". Elle estime d'ailleurs que ces mineurs sont "laissés à l'abandon".
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