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« Il y a un enfant qui se suicide tous les quinze jours pour harcèlement scolaire ou cyberharcèlement », selon Laure Darcos.
Pour mettre fin à ce fléau, la sénatrice de l’Essonne préconise que « les parents du harceleur, aussi, prennent leur responsabilité et comprennent, que peut-être, l’enfant lui-même, ne va pas bien ».
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