"Le débat est compliqué, il y a une forme de radicalisation violente que l’on observe un peu partout. L’échiquier politique a fortement évolué. Je pense qu’Internet a une part importante dans cette affaire", analyse Gilles Babinet, co-président du Conseil national du numérique (CNNUM). Selon lui, "notre éducation aux réseaux sociaux n’est pas terminée". Certains internautes n’ont pas encore conscience, d’après lui, de l’impact de leurs actions en ligne. Une situation qui peut mener au cyberharcèlement.
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