Le droit de correction, c'est-à-dire de corriger ses propres enfants, interdite depuis près de 5 ans en France, vient d'être invoqué, en avril dernier, par la cour d'appel de Metz en Moselle. Elle a relaxé un père de famille, accusé de violences sur ses enfants, en raison "d'un droit de correction". Sophie Décis, responsable juridique de l'association "Enfance et partage", espère "qu'on ne reviendra pas au droit de correction". Sur le plateau du "Grand JT de l'Éducation", elle analyse la décision de la cour d'appel.
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