Permettre aux enfants d’étudier dehors, c’est possible grâce au dispositif "Classe dehors", mis en place par La Fabrique des communs pédagogiques. L’objectif est de remettre la nature au cœur de l’apprentissage et de la vie des enfants. Moïna Fauchier-Delavigne, co-fondatrice de La Fabrique des communs pédagogiques, explique pourquoi 4 enfants sur 10 ne jouent jamais dehors. D’ailleurs, dans une tribune qu’elle a co-signée dans "Le Monde" elle rappelle que les "Les êtres humains, et en particulier les enfants, sont plus épanouis et heureux, en meilleure santé physique et mentale, quand ils sont régulièrement au contact de la nature : ce phénomène se nomme la "biophilie".
Existe-t-il un gène du rire ? Pour répondre à cette question, Jessica Cymerman et Julie Mamou-Mani ont co-écrit "Petit éloge du rire" et ont interrogé de nombreux humoristes, psychologues, enseignants et auteurs. Et affirment que "l’humour est nécessaire, tout comme l’air, et que le rire rallonge l’espérance de vie". D’ailleurs, Julie Mamou-Mani, plus connue sous le pseudo @mamouz sur Instagram, et suivie par plus de 170 000 abonnés, insiste sur l’apprentissage de l’humour à l’école : "J’aimerais tellement qu’on apprenne aux enfants à rire. Le rire, c’est comme du yoga, c’est une discipline du lâcher-prise". Elle milite également pour un "ministère du rire".
Dans son dernier numéro, le magazine Valeurs Actuelles qualifie Pap Ndiaye de "ministre de la déconstruction nationale" et dénonce "l’islamisation de l’école". Des propos que condamne Yannick Trigance, secrétaire national du Parti socialiste (PS). "Ce sont des termes d’une radicalité extrêmement violente qui contribuent à attiser les peurs, à stigmatiser une religion", insiste-t-il. Il évoque notamment la loi de 1882 qui rend l’école laïque.
Naît-on drôle ou le devient-on ? Faut-il autoriser le rire en classe ? Permet-il de garder son âme d'enfant ? Rire permet-il de mieux apprendre ? Pour y répondre, Marjorie Paillon reçoit
Guillaume Titus-Carmel, alias @Guillaumetc sur les réseaux sociaux et Julie Mamou-Mani, alias @Mamouz, journaliste et co-autrice de l'ouvrage "Petit éloge du rire".
Les écrans perturbent notre horloge biologique et c'est prouvé ! Le Centre pour l'éducation aux médias et à l'information (CLEMI), préconise donc de les mettre en pause pour retrouver un sommeil réparateur.
Après l'échec du premier vol commercial de la fusée européenne Vega-C, l'agence spatiale européenne tente de redonner son image. Gaël Musquet vous explique tout dans son "Idée derrière la tech".
"Pour nous, l’idée, c’est qu’à l’intérieur de cette école, l’enfant ne perde pas ce regard poétique, ne perde pas leur innocence, qu’ils se sentent autorisés à être eux-mêmes", explique Nelly Dussausse, à propos de son école Georges Gusdorf. Créé en 2008, cet établissement privé hors contrat est réservé aux jeunes intellectuellement précoces et aux élèves à haut potentiel intellectuel (HPI). Pour fonder cette école, Nelly Dussausse s’est inspiré des valeurs éducatives du philosophe Georges Gusdorf, et de Victor Hugo, l’un des chefs de file du romantisme.
Réforme de la voie professionnelle, laïcité à l'école, mixité sociale... Ces sujets occupent en ce moment le ministre Pap Ndiaye et font la "Une" de l'actualité. Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit Yannick Trigance, secrétaire national du Parti socialiste (PS).
Rappels à l'ordre envoyés aux lycéens absents, hausse des atteintes à la laïcité en mars, suspension de deux professeurs de philosophie, "Une" de Valeurs actuelles consacrée au ministre de l'Éducation nationale Pap Ndiaye, précisions autour de la réforme du lycée professionnel, souhait d'une enseignante de travailler au-delà de 67 ans... Loïc Landrau fait le tour de "L'actu en bref".
Apprendre aux parents à allier fermeté et bienveillance pour éduquer leurs enfants, c'est l'objectif de la discipline positive. Marie-Laure de Blic, formatrice en discipline positive, nous en parle en deuxième partie d'émission.
En fin d'émission, dans sa chronique "Vu à l'étranger", Loïc Landrau nous emmène en Inde.
Plusieurs passages des manuels scolaires ont été supprimés par le gouvernement. Il vous explique pourquoi.
Les jeunes en situation de handicap mettent en moyenne 7 mois à trouver un emploi, contre 4 pour les jeunes valides, selon une étude IFOP menée en 2021. Dans ce contexte, l’Arpejeh facilite l'insertion professionnelle des jeunes handicapés. L'association, partenaire de l'Éducation nationale et présente dans 5 régions françaises, promeut une société plus juste et plus égalitaire. Yannick Kusy, porte-parole de d'Arpejeh, explique comment les jeunes sont accompagnés.
Le taux de chômage des personnes en situation de handicap en France est de 14%, soit deux fois plus que les personnes valides, selon le ministère des Solidarités, de l'Autonomie et des Personnes handicapées. Pour favoriser l’insertion professionnelle des jeunes de 15 à 30 ans en situation de handicap, la plateforme "Mon parcours handicap" propose de nombreuses initiatives… Irina Capron fait le point et détaille l’ensemble des actions menées.
Pour inciter à la lecture, certains centres de documentation et d’information (CDI) mettent à disposition des fauteuils d’écoute. Cette initiative, destinées aux élèves atteints de troubles dys, leur permet d’être plus attentifs et plus concentrés. Amélie Paris, professeure-documentaliste, revient sur ce dispositif.
Aujourd'hui, dans "L'école ensemble", l'équipe du "Mag" s'intéresse à l'insertion professionnelle des jeunes en situation de handicap. Comment parviennent-ils à trouver un emploi ? Est-ce un parcours du combattant ? Que font les associations et l'État pour les encourager ? Vers quelles structures faut-il se tourner ? Quelles sont les obligations des entreprises ? L'école a-t-elle un rôle à jouer pour favoriser l'insertion professionnelle ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Émile Loubet, étudiant en communication et Yannick Kusy, porte-parole de l'association Arpejeh.
Dans sa "Loupe", Irina Capron dresse un état des lieux du marché de l'emploi.
En fin d'émission, zoom sur "Verry'Appli", une application mobile dédiée aux personnes en situation de handicap psychique. Irina vous explique tout dans son "Info en +".
Aller à l'école soit le matin, soit l'après-midi, c'est ce qui est prévu pour les collégiens et les lycéens en Uruguay, explique Magdalena Vassallo, professeure d'espagnol originaire de ce pays. Si certaines écoles proposent des cours toute la journée, celles-ci sont réservées aux enfants issus de familles défavorisées, explique Soledad Lessa, professeure et formatrice en Uruguay. D’ailleurs, ce rythme pose problème et ne semble pas convenir à toutes les familles, souligne-t-elle.
La crise sanitaire a entrainé une véritable "rupture dans les pratiques du système éducatif", insiste Jean-Louis Durpaire, inspecteur général de l'Éducation nationale honoraire. Dans son livre "Le bonheur, une révolution pour l'école", co-écrit avec Jean-Pierre Véran, il estime que l’école participe véritablement au bonheur des élèves, et n’est pas uniquement "réductible à des enseignements". Selon lui, ce lieu contribue à nouer des liens sociaux très importants. Il rappelle les actions menées au niveau local et national pour maintenir un lien social en plein confinement.