"Bon élève" mais "un peu dissipé" parce qu'il "aimait faire rire", l'humoriste Younes Depardieu évoque sa scolarité sur le plateau de "Souvenirs d'écolier". S'il avoue qu'il n'arrivait pas à "rester en place", l'humoriste a tout de même réussi à décrocher son baccalauréat et son BTS. Aujourd'hui, il a lancé sa carrière solo, avec un premier one-man show au Point Virgule à Paris.
Le grand public l'a découvert sur YouTube il y a quelques années grâce à son duo comique avec Bambi. L'humoriste Younes Depardieu est l'invité de Malika Ménard. Sur le plateau de "Souvenirs d'écolier", il évoque ses premiers pas dans l'humour et son premier one man show au Point Virgule à Paris. De son enfance à Châteauroux (Indre), en passant par sa scolarité et la mort de son frère, Younes Arbouja (son vrai nom), évoque ses souvenirs et son enfance difficile.
"Élève très bavarde" mais "très studieuse", Ève Gilles reconnaît qu'elle avait des facilités en classe pour apprendre. Sur le plateau de "Souvenirs d'écolier", Miss France 2024 avoue, aux côtés de Malika Ménard, qu'elle était une "très bonne élève". Elle avait d'ailleurs 10 heures d'option par semaine, dont grec, latin, langues des signes ou encore mathématiques, pour nourrir sa "soif d'apprendre", explique-t-elle.
Elle a été élue Miss France 2024 en décembre dernier. Ève Gilles est l'invitée de Malika Ménard. Sur le plateau de "Souvenirs d'écolier", Ève Gilles retrace son enfance "géniale" dans le petit village de Quaëdypre, près de Dunkerque, dans les Hauts-de-France. Élève "très bavarde" mais "studieuse", Ève Gilles explique comment elle a intégré une licence de mathématiques, après avoir effectué une année de médecine. Son actualité est très remplie. Ève Gilles a été choisie pour faire partie du relais et porter la flamme olympique des JO 2024.
"Un enfant se suicide tous les quinze jours pour harcèlement scolaire ou cyberharcèlement. On ne peut plus attendre les prochaines victimes", estime la sénatrice de l'Essonne, Laure Darcos. Pour stopper le fléau, elle suggère de mobiliser "la communauté complète autour de l'enfant, c'est-à-dire les parents, les professeurs, l'établissement" pour comprendre "pourquoi il y a eu cette escalade".
Maman d'une petite fille de six ans, Saliha Aithamou a fait le choix de scolariser sa fille à la maison. L'humoriste se transforme en maîtresse le matin, et suit "un programme cadré". Si, au départ, elle "avait la pression", aujourd'hui, après "l'excellent bilan de sa fille", Saliha Aithamou prend quelques libertés avec le programme scolaire en le réadaptant. Un rôle qu'elle "adore", car elle estime que ce type de pédagogie correspond à la vie d'artiste.
Ils sont délégués départementaux de l'Éducation nationale (DDEN) et participent activement aux bien-être des enfants au quotidien. Comment devenir DDEN ? Quelles sont leur rôle et leur champ d'action ? Pourquoi ces bénévoles sont-ils si importants dans le bon fonctionnement de l'école ? Quel rôle jouent-ils auprès des élus ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Martine Deldem, présidente de l'Union départementale DDEN de l'Hérault et Eddy Khaldi, président de la Fédération des DDEN.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen évoque l'Adapta'Box, une boîte à outils dédiée à l'inclusion.
Personne ressource de l'école, le délégué départemental de l'Éducation nationale (DDEN) est un bénévole qui veille au bien-être des enfants. "On nous demande aussi de faire de la médiation, et des conseils d'école", détaille Martine Deldem, présidente de l'Union départementale DDEN de l'Hérault. Comme elle, certains DDEN peuvent également participer à l'élaboration de la carte scolaire.
Père de deux enfants, tous deux à l'école publique, Salim Kechiouche estime que "l'égalité des chances est amoindrie", en fonction du lieu de vie de l'élève. S'il croit "en l'école de la République", l'acteur, connu pour ses rôles dans "La Vie d'Adèle" ou encore la série "Braqueurs", regrette le manque de mixité sociale et les "inégalités" scolaires. Pour améliorer le système scolaire français, Salim Kechiouche suggère de "mettre en valeur" le travail des professeurs.
Cela fait déjà plus de vingt-ans qu'on peut le voir au cinéma. Connu pour ses rôles dans "La Vie d'Adèle", "Mektoub, my love" ou encore dans la série "Braqueurs", l'acteur Salim Kechiouche a signé son tout premier film, "L'enfant du Paradis", en 2022. Il est l'invité de Malika Ménard pour en parler. Sur le plateau de "Souvenirs d'écolier", il évoque son enfance et sa scolarité, dans un "quartier difficile" près de Lyon (Rhône), ses relations familiales et la perte de sa mère pendant sa jeunesse.
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on s'intéresse à un sujet délicat et très préoccupant, le syndrome du bébé secoué (SBS). Chaque année, on compte environ 500 bébés victimes, mais ce chiffre est sous-estimé, selon de nombreux professionnels de santé. Si la parole se libère peu à peu, que faire pour enfin stopper ce fléau ? Quelles sont les actions du gouvernement ? Qu'en est-il de la prévention en France ? Comment mieux aider les parents à gérer le stress ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Aude Lafitte, présidente de l'association AVI (Action contre les violences infantiles) et militante pour la protection de l'enfance et Gwenaëlle Saulnier, maman de Perrine, décédée du SBS en 2014.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen met en avant le livre de Marie Salvatori, une maman qui témoigne dans son livre "On a secoué mon bébé... ".
"J'étais un meilleur élève en Australie qu'en France", avoue Malo', sur le plateau de "Souvenirs d'écolier". Élevé par son père en France, il a décidé de poursuivre sa scolarité en Australie pour retrouver sa mère. Davantage de "proximité" entre professeurs et élèves, une "manière éducative plus libre", des enseignants qui "partagent leurs passions"… Tous ces éléments ont permis au chanteur de s'épanouir dans ce pays.