Si la filière souffre de nombreux préjugés, elle permet, pour autant, de découvrir de nombreux sports et même d'obtenir le statut de "sportif de haut niveau". Marie Duringer, étudiante en master STAPS mention ingénierie et ergonomie de l’activité physique (IEAP) à Orsay Université Paris-Saclay, partage son expérience.
"120 000 candidatures au niveau national pour seulement 25 000 places en première année", insiste Aurélien Pichon, professeur de STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives) à l'Université de Poitiers. Il explique comment s'opère cette sélection.
Aujourd’hui, pour débuter l’année 2023, zoom sur les espaces de dynamique d’insertion (EDI). Ce sont 26 structures qui accompagnent plus de 2500 jeunes en difficulté ou en situation de décrochage scolaire. Elles les aident à s'orienter vers la voie professionnelle. Comment y parviennent-elles ? Avec quels moyens ? Le décrochage scolaire est-il en train de décliner en France ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Guillaume Conraud, délégué général de l'association "Action prévention sport" (APS), et en duplex Randa Khaldoun, formatrice référente chez "Action prévention sport" et Sacha Pierre, jeune étudiant suivi par cette association. Depuis plus de 25 ans, "Action prévention sport" favorise l'insertion professionnelle des jeunes grâce au sport. Va-t-on vers la fin des espaces de dynamique d'insertion (EDI) ? Mathilde Wessels sort sa "Loupe" pour y répondre. La mairie d'Achères (Yvelines) a organisé récemment une soirée entre jeunes et entrepreneurs. Au lieu d'un speed-dating traditionnel, les jeunes ont pu échanger avec les entreprises autour d'une partie de jeu vidéo de football FIFA. C'est "l'info en +" de Mathilde Wessels.
Comment encourager les jeunes en difficulté, de 16 à 26 ans, et en décrochage scolaire à s'orienter vers la voie professionnelle ? C'est tout l'objectif des espaces dynamiques d'insertion (EDI), un dispositif régional. L'association "Action prévention sport"(APS) oeuvre depuis plus de 25 ans en ce sens. Elle propose d'accompagner les jeunes, par le sport, à trouver leur voie. Chaque année, elle accueille plus de 300 stagiaires de la région Île-de-France. Un suivi individualisé est proposé à chacun, comme l'explique Guillaume Conraud, délégué général "Action prévention sport". Sacha Pierre, jeune suivi par l'association APS, revient sur son expérience.
Aujourd'hui, dans "mission orientation", gros plan sur les volontaires du service civique. A qui s'adresse-t-il ? Pourquoi est-il si important pour notre société ? Le service civique permet-il de trouver sa voie professionnelle ? Faut-il le rendre obligatoire ? Pour en parler, Mathilde Wessels reçoit en duplex Béatrice Angrand, présidente de l'agence du service civique et Imène Khezzane, volontaire en service civique. En quoi consiste le service civique ? Une indemnité est-elle prévue ? Réponse d'Irina Capron dans sa "Loupe". Vous verrez, en fin d'émission, qu'effectuer le service civique attire aussi les recruteurs. C'est "l'info en +" d'Irina Capron.
Comment ces jeunes sont-ils recrutés ? Quelles sont les missions proposées ? Béatrice Angrand, présidente de l'agence du service civique, et Imène Khezzane, volontaire en service civique, répondent à toutes ces questions.
Ouvert à tous les jeunes de 16 à 25 ans, et jusqu'à 30 ans pour les jeunes en situation de handicap, le service civique est un engagement volontaire. Pour Béatrice Angrand, présidente de l'Agence de service civique, "la génération après-covid est très mobilisée sur le sens plus que sur la rentabilité. L'intérêt du service civique est qu'on peut combiner les deux aspects". Autre avantage : les recruteurs sont très friands des profils ayant effectué le service civique. 71% d'entre eux considèrent le service civique comme un atout.
Plus que quelques jours avant l'ouverture du site d'information Parcoursup le 20 décembre. Si certains lycéens ont une idée bien précise de leur orientation, les terminales vont pouvoir consulter les formations disponibles en 2023 et découvrir la procédure à suivre pour insérer leurs vœux sur la plateforme. Si "Parcoursup permet de s'informer en profondeur", explique Julie Mleczko, directrice déléguée de la rédaction de Studyrama, elle conseille tout de même de se rendre aux salons d'orientation et aux portes ouvertes des écoles post-bac.
Bientôt l'ouverture de Parcoursup, la plateforme post-bac pour insérer ses vœux d'orientation. Parmi les filières très demandées, les lycéens choisissent d'intégrer les écoles d'arts appliqués. Pour en parler, Emmanuel Davidenkoff reçoit en plateau Éric Chenal, directeur de l'école Olivier de Serres, aussi appelée l'ENSAAMA (École nationale supérieure des arts appliqués et des métiers d'art). C'est l'une des lois les plus importantes du XXe siècle en France. Gros plan sur la loi de séparation de l'église et de l'État, du 9 décembre 1905. Emma Guessel sort son "Antisèche" et se plonge dans les manuels scolaires pour un retour en arrière. On fera une pause à "l'heure de la récré" avec Emma, qui donne quelques idées de cadeaux à glisser sous le sapin pour les enfants de moins de 7 ans. En fin d'émission, on pousse les portes de la "Librairie" avec Célie Lutton. Elle propose trois contes de fées à lire pour bien commencer le week-end.
Avec le développement et l'utilisation des nouvelles technologies, l'industrie est aussi en train de se métamorphoser. Isabelle Rouhan, présidente de l'observatoire des métiers du futur et auteure du livre "Emploi 4.0 : quels métiers pour réussir la transformation technologique ?" a référencé les métiers de demain. Elle explique pourquoi il est essentiel de se concentrer sur ces nouvelles professions, comme celui d'ambassadeur de la souveraineté numérique.
Le boom des écoles d'art en France ? C'est en tout cas ce qu'affirme Éric Chenal, directeur de l'école Olivier de Serres, aussi appelée l'ENSAAMA (École nationale supérieure des arts appliqués et des métiers d'art). Après "l'ère des ingénieurs, puis des managers, c'est aujourd'hui l'ère des créateurs qui doit s'imposer, y compris dans les instances de décisions !", assure-t-il. L'une des forces de notre pays, selon lui, est de proposer des écoles d'arts de haut niveau et accessibles à toutes les bourses.
Aujourd'hui, dans "Mission orientation", gros plan sur le métier de guide-conférencier, qui enchantent petits et grands lors de visites culturelles et historiques. Mais il n'y a pas que les adultes qui peuvent être guide-conférencier. Les enfants s'y mettent aussi ! Le phénomène prend-il de l'ampleur ? Pourquoi confie-t-on cette mission aux jeunes ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Margherita Cavenago, guide-conférencière, membre de la Compagnie des guides et fondatrice du site "Le Paris de Margot". Elle expliquera pourquoi elle a souhaité devenir guide-conférencière. Suivez le guide avec Mathilde Wessels qui vous dévoile tout sur le parcours pour devenir guide-conférencier, dans sa "Loupe". À Versailles, les enfants conférenciers ont la cote, grâce à un projet né en 2012. C'est l"'info en +" de Mathilde Wessels.