On célèbre les dix ans de l'économie numérique ! Ces années ont permis à la France et à l'Europe de structurer son écosystème numérique. Comment ces startups et entreprises ont-elles réussi à s'imposer dans ce domaine et s'emparer de thématiques actuelles ? Comment vont-elles devoir s'y prendre pour les dix prochaines années? Pour en parler, Marjorie Paillon reçoit en plateau Maya Noël, directrice générale de "France digitale", première organisation de startups en Europe, et en duplex Rémi Ferrand, délégué général de "Talents du numérique". Il déchaîne les passions sur le web... Qu'est-ce qu'un jeton non fongible (NFT)? "Focus" et décryptage signé Édouard Denuau. En l'espace de quelques années, les drones sont devenus de véritables outils professionnels ! Détails avec Gaël Musquet qui a une "idée derrière la tech".
En France, 40% des créateurs d'entreprises ont moins de 30 ans ! "Ce qui est bien dans la jeunesse, c'est qu'il y a de l'optimisme qui perdure, et c'est très important d'être optimiste lorsqu'on lance une start-up" affirme Maya Noël, directrice générale de "France digitale". De plus en plus de nouvelles entreprises se focalisent aussi sur des thématiques d'actualité: l'environnement, le pouvoir d'achat, l'éducation et apportent des solutions.
On célèbre les dix ans de l'économie numérique ! Ces années ont permis à la France et à l'Europe de structurer son écosystème numérique, composé notamment de startups et d'entreprises. "Il y a une effervescence ! Les pouvoirs publics se sont emparés du sujet. C'est l'ensemble de l'écosystème, de la startup, aux grands groupes en passant par les TPE (très petite entreprise) , PME (petites et moyennes entreprises) et ETI (entreprise de taille intermédiaire) , qui se sont mobilisés pour se faire connaître" détaille Rémi Ferrand, délégué général de "Talents du numérique".
En Europe, 14 millions de jeunes de moins de 25 ans décrochent du système scolaire, dont 1,5 million en France. Ils sont sans formation et sans diplôme. Ils sont appelés les "neet" (not in education, employment or training). Et si, pour les aider à raccrocher, les entreprises misaient sur la passion ? Un secteur l'a bien compris : le jeu vidéo tente d'attirer ces jeunes en quête de sens ! Pour en parler, Marjorie Paillon reçoit en plateau Alain Assouline, président de l'école des métiers du numérique pour tous "Webforce 3" et Marianne Tostivint, co-présidente de l'association "Horizon Jeu" en Île-de-France. Cette dernière vient de lancer la première formation gratuite intitulée "Avenir en jeu" pour devenir testeur ou testeuse de jeu vidéo. Sept... C'est son chiffre fétiche, et surtout c'est grâce à lui s'il a percé sur YouTube ! Le vidéaste "Doc Seven" peut tout vulgariser. "Focus" et portrait signé Édouard Denuau. Les robots ont des super pouvoirs grâce à leur système d'exploitation ! Détails avec Gaël Musquet qui a une "idée derrière la tech".
"D'un côté, les jeunes étaient en recherche de formation et de passion et de l'autre côté, des entreprises du jeu avaient besoin de recruter sur certains postes. Il existe beaucoup d'écoles qui forment les jeunes au métier du jeu vidéo. Souvent, celles-ci sont payantes. On a constaté qu'on avait du mal à recruter sur certains postes" détaille Marianne Tostivint, co-présidente de "Horizon Jeu" en Île-de-France. Pour attirer ces jeunes décrocheurs vers le chemin de l'emploi, le secteur du jeu vidéo offre de nombreuses perspectives. L'association "Horizon jeu video" souhaite promouvoir la diversité, l'égalité et l'inclusion sociale dans ce domaine. Pour y parvenir, elle vient de lancer sa première formation gratuite intitulée "Avenir en jeu" pour devenir testeur ou testeuse de jeu vidéo !
Les élèves doivent connaître les bases de géométrie et de mathématiques pour devenir chaudronnier. Être rigoureux et précis est également très important dans ce métier. "On n'a vraiment pas le droit à l'erreur" insiste Hamza Iouaz, enseignant de chaudronnerie. Enfin, le travail d'équipe est aussi apprécié dans ce milieu.
Temps d'apprentissage, missions au quotidien, créativité et réflexion... Amaury Chaffron, meilleur apprenti de France en chaudronnerie, explique en quoi consiste le métier de chaudronnier, un métier encore méconnu. "C'est assez technique, il faut apprendre à se servir des machines". Etudiant au centre de formation d'apprentis des Compagnons du devoir, il est actuellement en apprentissage aux chantiers Gléhen, à Douarnenez (Finistère).
C'est la journée nationale du refus de l'échec scolaire ! À cette occasion, notre invité nous fait découvrir un établissement qui permet aux élèves décrocheurs de raccrocher ! Il s'agit de l'école de la deuxième chance pour apprendre un métier. Pour en parler, Emmanuel Davidenkoff reçoit Jean Serror, directeur des écoles de la deuxième chance du Val-de-Marne. Y'aura-t-il deux fois moins d'humains sur Terre en 2100? C'est ce que révèle une étude menée par un économiste de la banque HSBC . Pourtant, l'ONU annonce le contraire. Emma Guessel sort son "Antisèche" pour lever le voile ! On fera une petite pause à "l'heure de la récré" avec Emma pour parler des excuses les plus drôles entendues à l'école. En Éthiopie, vous verrez qu'il existe aussi des écoles de la deuxième chance. Explications de Marie Ollivier pour "son cours particulier".
En France, 40% des créateurs d'entreprises ont moins de 30 ans ! Pourquoi ces jeunes ont-ils envie de se lancer dans l'aventure ? Pour en discuter, Marjorie Paillon reçoit en plateau Guillaume Moubeche, CEO et co-fondateur de "Lempire" et auteur de "The $150M secret" et Alexandre Pachulski, fondateur de l'établissement "l'autre école", co-fondateur de "Talentsoft" et auteur de "Startup Story". C'est une icône de la protection animale ! Elle a consacré sa vie à l'étude des chimpanzés. "Focus" et portrait de l'éthologue et anthropologue britannique Jane Goodall signé Édouard Denuau. Amélia Matar a une "idée derrière la tech". Zoom sur un reportage mené au sein d'une classe à Portland, aux États-Unis !
Pour préparer les enfants au monde de demain, l’établissement intitulé « L’autre école », fondé en 2018, forme les écoliers de 2 à 11 ans. Objectif ? Les aider à se découvrir, connaître leurs forces et leurs faiblesses afin de révéler leur véritable potentiel explique Alexandre Pachulski, Ph.D. premier investisseur de « L’autre école », co-fondateur de lala société éditrice de logicielle "Talentsoft" et auteur de "Startup Story".
De nombreuses formations conduisent les étudiants vers les métiers de l'immobilier. BTS, alternance, Bac +5, ou poursuivre sa formation alors même que l'employé s'y trouve déjà ! Bref, la demande est bien présente. Pour intégrer le milieu, il faut tout de même un peu de pratique, conseille Samantha Briand, coach en orientation chez "Potentiel Jeunes". D'ailleurs, Kim Manrique, étudiant en Licence pro Immobilier, s'est lancé dans cette voie. Il détaille notamment les avantages d'une formation professionnalisante.
Débouchés nombreux, perception d'un secteur stable...Ces facteurs aident les étudiants à choisir la filière immobilier. Kim Manrique, étudiant en Licence pro Immobilier, s'est lancé dans cette voie. Pourtant, si les étudiants voient dans cette filière un vrai potentiel, "il y a beaucoup de précarité, beaucoup d'auto-entrepreneurs, de prospection à réaliser. Beaucoup d'agents sont rémunérés à la commission" insiste Samantha Briand, coach en orientation chez "Potentiel Jeunes". Pour intégrer la filière, il faut aimer le relationnel, la négociation et le droit.