75% des femmes sont harcelées en ligne. Et 8 femmes sur 10 n'osent pas prendre la parole sur les réseaux sociaux pour réagir à des sujets politiques, de société ou de santé, constate Claire Suco. Très engagée pour défendre et protéger les femmes contre le sexiste et les violences, elle a donc fondé "Meuf Paris". Marque de vêtements et véritable communauté, Claire Suco souhaite également lancer un réseau social exclusivement réservé aux femmes. Elle en dit plus sur le plateau de "L'École du futur".
Derrière son compte Instagram et sa marque de vêtements en ligne "Meuf paris", Claire Suco, jeune entrepreneuse, lutte contre le sexisme et les violences faites aux femmes. Quel est son parcours ? Pourquoi s'est-elle engagée ? Comment a-t-elle réussi à créer le mouvement "Meuf" ? Quels sont ses projets à venir ? Elle est l'invitée de Philippine Dolbeau pour en parler.
Elle vulgarise les sciences sur sa chaîne YouTube "Scilabus". Jean Martinho retrace le parcours de sa créatrice, Viviane Lalande, dans le "Focus" du jour.
Dans son "Idée derrière la tech", Dorith Naon dresse un état des lieux du harcèlement scolaire en fin d'émission.
Elle a mis vingt ans, écrit-elle, à sortir de l'anorexie mentale. Cette maladie, qui touche 1,4% des femmes, selon le corps médical, se déclenche le plus souvent à l'adolescence. Quelles solutions peut-on mettre en place pour en sortir ? Comment ce trouble du comportement alimentaire (TCA) se déclenche-t-il ? Ludivine Grétéré, victime d'anorexie mentale, livre son histoire dans un livre bouleversant intitulé "Imparfaite". Elle est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
À l'occasion de la diffusion d'un documentaire sur Arte consacré à l'histoire de l'Ukraine,
Brandon Waret sort son "Antisèche" pour se plonger dans les programmes d'histoire.
Dans son "Heure de la récré", Brandon nous invite à déchiffrer les textes de la bibliothèque de Pompéi.
En fin d'émission, on retrouve Amélie Paris pour ses "Années collège". Notre professeure-documentaliste explique ce qu'est le classement Dewey, utilisé dans les centres de documentation et d'information (CDI).
Dans le ventre de la mère, le bébé découvre déjà les différents goûts et odeurs des aliments. L'alimentation de la mère a donc "un impact" sur cette éducation au goût, comme l'explique Anne Didier-Pétremant, fondatrice de l'association "De mon assiette à notre planète". Lorsque l'enfant grandit, au moment de la diversification alimentaire, vers l'âge de six mois, il peut également développer son palais.
Apprendre à toucher et sentir les textures des fruits et des légumes pour se familiariser au goût, c'est ce que propose la ville de Colomiers, en Haute-Garonne. L'objectif ? Sensibiliser dès la crèche, comme l'explique Audrey Nabonne, responsable de l'école du goût de Colomiers. Pour Anne Didier-Pétremant, fondatrice de l'association "De mon assiette à notre planète", il est essentiel de "soigner la présentation des plats à la cantine" pour "apprécier un aliment".
Il a co-fondé le Gorafi en 2012. Sébastien Liebus, directeur de la rédaction, livre ses conseils pour détecter les fake news. Selon lui, il faut "apprendre à lire l'info" et se demander quel média publie, comment l'info a été publiée, et dans quel but.
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on se penche sur l'éducation à l'alimentation et au goût. Quel est le rôle de l'école ? Quelles initiatives met-elle en place pour former le palais des enfants ? Qu'en est-il des parents ? À quel âge le goût se développe-t-il chez les petits ? Pourquoi l'éducation au goût passe-t-elle également par l'éducation au développement durable ? Comment faire aimer les légumes aux enfants ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Anne Didier-Pétremant, fondatrice de l'association "De mon assiette à notre planète" et Audrey Nabonne, responsable de l'école du goût de Colomiers (Haute-Garonne).
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen met en lumière l'approche pédagogique "Cubes et petits pois".
C'est un voyage en Égypte antique à ne pas manquer. Jusqu'au 5 janvier 2025, l'Atelier des Lumières à Paris dévoile une nouvelle exposition immersive consacrée à l'Égypte des pharaons, de Khéops à Ramsès II. Si le public est plongé dans trois millénaires, à travers des images époustouflantes de pyramides, de représentations de dieux et déesses, ou encore de scènes de vie quotidienne sur le Nil, il peut également trouver des informations sur les œuvres exposées. Jean-Guillaume Olette-Pelletier, égyptologue, en dit plus sur le plateau de "La Quotidienne".
L'Égypte ancienne continue de passionner les spécialistes et le grand public. L'Atelier des Lumières à Paris consacre une nouvelle exposition à l'Égypte des pharaons, de Khéops à Ramsès II. Jean-Guillaume Olette-Pelletier, égyptologue, est l'invité d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
À l'occasion des 80 ans de la création du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale, Cécile Fournier sort son "Antisèche" pour faire le point.
Pour son "Heure de la récré", Cécile s'interroge sur notre niveau d'anglais.
En fin d'émission, on pousse les portes de la "Librairie" pour retrouver Célie Lutton et ses précieux conseils littéraires.
Il a inventé, avec quatre autres étudiants, une application pour scanner et trier les déchets dans la rue. C'est grâce à cette invention, intitulée "C du propre", que Loqmann Benhaddya, venu de Trappes (Yvelines), a remporté le concours Kesk'IA. Cette compétition met à l'honneur des innovations conçues par de jeunes talents issus de quartiers populaires. En remportant ce concours, les étudiants s'envoleront pour la Silicon Valley, pour présenter leur application.
À la suite de la mort de Nahel, jeune homme de 17 ans, tué par un policier lors d'un contrôle à Nanterre, des émeutes ont éclaté en France. Selon la députée EELV- Nupes des Hauts-de-Seine, Sabrina Sebaihi, "toutes les souffrances accumulées pendant des années s'expriment". Elle évoque notamment les sentiments d'injustice et de déclassement que peuvent ressentir les jeunes. Une "colère" qu'elle comprend. Elle estime d'ailleurs que les jeunes, issus des quartiers défavorisés, sont confrontés à "double peine" ainsi qu'à des inégalités scolaires.
En 2023, 49 morts liés au narcotrafic ont été recensés dans la cité phocéenne. Une hausse de 50% par rapport à 2022. L'association "Conscience", fondée par Amine Kessaci, qui a perdu son frère dans un homicide, se bat au quotidien pour redorer l'image des jeunes des quartiers nord de Marseille.