Le ministre de l'Éducation nationale Gabriel Attal a annoncé, le 19 octobre dernier, vouloir sortir des établissements scolaires les élèves signalés pour faits de radicalisation. Selon le ministre, environ 1000 élèves seraient suivis par les services de renseignement pour radicalisation islamiste. "C'est à la fois peu, par rapport aux 12 millions d'élèves, et en même temps, c'est beaucoup sur l'ensemble de la société", insiste Médéric Chapiteaux, membre du conseil des sages de la laïcité et sociologue. Il rappelle que 5000 personnes en France sont recensées dans les fichiers de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT).
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