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"Au-delà du cyberharcèlement, c'est tout l'enjeu de la banalisation de la violence à l'école", insiste Florence Millot, psychologue. "Pour que l'empathie s'active dans le cerveau, il faut aussi pouvoir voir un visage et une expression. Or, quand on voit un avatar, notre niveau d'empathie a du mal à s'activer". Certains professeurs avec qui elle travaille, ont d'ailleurs consacré du temps, en classe, à la lutte contre le cyberharcèlement.
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