Trois semaines top chrono pour réaliser un certain nombre de défis écolos, c'est le principe de l'application "Ma Petite Planète". Le but ? Sensibiliser des élèves, de la maternelle au lycée, aux défis écologiques par le biais de jeux ludiques. Ce projet pédagogique est accessible gratuitement à chaque professeur, qui doit ensuite valider les défis "sur tout un tas de thématiques, comme la créativité, la mobilité ou encore la diversité", explique Chloé Annabi, responsable des éditions scolaires et pédagogiques de "Ma Petite Planète". Objectif ? Permettre aux jeunes de se sentir plus proche de la nature.
La carte scolaire permet l'affectation d'un élève dans un établissement à proximité de son lieu de résidence, sans lui laisser le choix de s'inscrire dans une autre école publique. "On ne comprend pas pourquoi on privilégie l’aspect financier au détriment du bien-être des enfants", regrette Anaïs Lacombe, membre de l'association des "Parents des P'tits Bourquins". Dans les Ardennes, plusieurs classes risquent de fermer. Selon elle, les classes réduites permettent de mettre en place un suivi individualisé, tandis que les classes surchargées peuvent favoriser l’anxiété.
Du 25 mars au 9 avril 2023, c'est la 10ème édition de "Tous au compost !", un événement national qui valorise, chaque année, la pratique du compostage de proximité. Le "Réseau compost citoyen" est à l'initiative de ce projet pédagogique. Comment permet-il d'éduquer les enfants ? Pourquoi le compostage est-il utile pour la préservation de l'environnement ? Est-ce une tendance ou un véritable mode de vie ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Alan Le Jéloux, administrateur de l'association "Réseau compost citoyen Île-de-France" et Véronique Montalvillo, technicienne territoriale au sein de "Sietrem Seine-et-Marne". Qu’est ce que le compostage ? Irina Capron sort sa "Loupe" pour y répondre. La semaine du 13 au 18 mars prochain sera consacrée au jardinage dans les écoles maternelles et élémentaires. Des ateliers pratiques seront mis en place pour l'occasion. Détails à suivre d'Irina dans son "Info en +".
Trois associations - "Sos Homophobie", "Sidaction" et le "Planning familial" - ont annoncé mercredi 1er mars attaquer l’État devant la justice administrative pour non-respect de la loi de 2001. Cette dernière prévoit notamment l’obligation de dispenser, dans les écoles, les collèges et les lycées, au moins trois séances à la sexualité. Or, selon un rapport récent publié par le collectif #Noustoutes, "seulement 13% des séances étaient délivrées", atteste Nathalie Meyer, membre du collectif. Quant à Lucile Jomat, présidente de "Sos homophobie", l’association attend "une effectivité de la loi, un vrai plan d’éducation à la sexualité, des moyens humains et financiers et des formations pour les professeurs et le personnel éducatif".
Chaque année, l'infection au papillomavirus est responsable de plus de 6 000 nouveaux cas de cancers chez l'homme et la femme. Pour éradiquer ce fléau, Emmanuel Macron a annoncé, fin février, le lancement d’une campagne de vaccination "généralisée". Dès la rentrée de septembre 2023, tous les élèves de 5ème pourront se faire vacciner contre les papillomavirus au collège. Daniel Scimeca, médecin généraliste, rappelle que la vaccination concerne aussi les garçons. Le papillomavirus, qui se transmet par relations sexuelles, provoque également des cancers chez les hommes. Cette mesure est donc "solidaire" selon lui.
Pour éradiquer le papillomavirus, responsable chaque année de plus de 6000 cas de cancers en France, Emmanuel Macron a annoncé, cette semaine, la vaccination "généralisée" des adolescents contre le papillomavirus. Comment se transmet-il ? Qu'en pense le corps médical ? Comment bien informer les jeunes ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en duplex le Dr Daniel Scimeca, médecin généraliste et Laurence Rouloff, présidente de l'association "Akuma" et patiente porteuse du virus. L'État attaqué en justice pour non-respect de la loi de 2001 concernant l'éducation à la sexualité, solution trouvée pour Maël, élève harcelé à l'école, proposition de loi visant à instaurer une majorité numérique débattue, questionnement autour de l'obligation du Service national universel (SNU)... Andréa Lebourgeois fait le tour de 'L'actu en bref". Apprendre à avoir une conscience écologique, c'est ce que propose Aline Gubri, autrice du livre "Écologie pratique pour parents débutants". Elle en parle en deuxième partie d'émission. Selon une récente étude mondiale de l'entreprise spécialisée en contrôle parental "Qustodio", les mineurs ont passé en moyenne 1 h 47 par jour sur TikTok en 2022. Cette semaine, la plateforme a décidé d'imposer une limite de 60 minutes par jour pour les moins de 18 ans. Explications à suivre d'Andréa Lebourgeois dans sa chronique "Quoi de neuf sur les réseaux ?"
À une voix près, l'Assemblée nationale a rejeté le 9 février dernier la proposition de loi socialiste pour assurer un repas à 1 euro pour tous les étudiants. Pour Florence Dupraz, directrice communication de l’association "Open Agrifood", un repas coûte entre 6 et 7 euros par élève. Selon elle, il faut avant tout réfléchir au coût d’un repas équilibré.
Direction la cantine scolaire pour s'intéresser aux repas de nos enfants. À l'occasion du Salon international de l'agriculture, qu'en est-il de l'équilibre alimentaire des élèves ? Faut-il changer les menus ? Pourquoi la cantine scolaire est-elle si mal-aimée ? Comment améliorer la qualité proposée ? Pour en discuter, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Florence Dupraz, directrice de l'association "Open Agrifood" et en duplex Marie-Pierre Membrives, maman engagée au sujet des cantines scolaires et Evelyne Debourg, meilleure cantinière de France. Ouverture d'une commission d'enquête sur Tiktok, nouvel engagement de Charlotte Caubel, secrétaire d'État chargée de l'Enfance sur le harcèlement scolaire, projet d'une plateforme culturelle numérique, César des Lycéens décerné à "la Nuit du 12", cri d'alarme des associations à propos du calendrier du bac... Loïc Landrau fait le tour de "L'actu en bref". Comment gérer le "non" des enfants sans s'énerver ? Pour y répondre, Clémence Prompsy, psychologue clinicienne et auteure, a sorti un livre intitulé "Je ne veux pas". Elle en parle en deuxième partie d'émission. Zoom sur l'école péripatéticienne, fondée par le philosophe Aristote. Détails à suivre avec Loïc Landrau dans sa chronique "Et avant?"
Direction la cantine scolaire pour s'intéresser aux repas de nos enfants. À l'occasion du Salon international de l'agriculture, qu'en est-il de l'équilibre alimentaire des élèves ? Faut-il changer les menus ? Pourquoi la cantine scolaire est-elle si mal-aimée ? Comment améliorer la qualité proposée ? Pour en discuter, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Florence Dupraz, directrice de l'association "Open Agrifood" et en duplex Marie-Pierre Membrives, maman engagée au sujet des cantines scolaires et Evelyne Debourg, meilleure cantinière de France. Ouverture d'une commission d'enquête sur Tiktok, nouvel engagement de Charlotte Caubel, secrétaire d'État chargée de l'Enfance sur le harcèlement scolaire, projet d'une plateforme culturelle numérique, César des Lycéens décerné à "la Nuit du 12", cri d'alarme des associations à propos du calendrier du bac... Loïc Landrau fait le tour de "L'actu en bref". Comment gérer le "non" des enfants sans s'énerver ? Pour y répondre, Clémence Prompsy, psychologue clinicienne et auteure, a sorti un livre intitulé "Je ne veux pas". Elle en parle en deuxième partie d'émission. Zoom sur l'école péripatéticienne, fondée par le philosophe Aristote. Détails à suivre avec Loïc Landrau dans sa chronique "Et avant?"
Aujourd'hui, zoom sur les crèches en plein air qui connaissent un succès fulgurant. Comment se définissent ces crèches en plein air ? Quelles activités proposent-elles aux enfants ? Quels sont les bénéfices de ce concept ? Comment les petits sont-ils encadrés ? Les éco-crèches ont également la cote. Pour quelles raisons ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Banja Rathnov Nellemann, galeriste danoise et en duplex Steven Vasselin, adjoint en charge de la petite enfance à la mairie de Lyon (Rhône). Concept venu tout droit des pays nordiques, de plus en plus de familles se laissent tenter en France. Pourquoi un tel engouement ? Irina Capron sort sa "Loupe" pour y répondre. Au Canada, la garderie nature rencontre un véritable succès. Explications à suivre d'Irina Capron pour son "Info en +".
"Le harcèlement est un fléau qui tue des enfants et des adolescents chaque année", déclare Colette Mélot, sénatrice de Seine-et-Marne. D’ailleurs, même si les pouvoirs publics se sont emparés de ce sujet dès 2010, en 2021, on a recensé une vingtaine de suicides de jeunes harcelés en France. Virginie Guilhaume reçoit en plateau Colette Mélot, auteure du rapport d’information "Harcèlement scolaire et cyberharcèlement : mobilisation générale pour mieux prévenir, détecter et traiter". Grèves contre la réforme des retraites, rassemblement contre la fermeture de classes, lettre ouverte adressée à Pap Ndiaye au sujet du harcèlement anti-LGBT, dépression chez les étudiants …. Andréa Lebourgeois fait le tour de "L’actu en bref". Un univers musical pour partager bonheur, enthousiasme et joie de vivre, c’est ce que propose "Paroles de Farfelus". En chanson, en podcast et en spectacle, Laure et Franck, artistes, auteurs, compositeurs et interprètes, transportent petits et grands dans leur univers et leurs aventures. Laure Desbre nous en parle en deuxième partie d’émission. En fin d’émission, retrouvez le finaliste de la Star Academy, Louis Albi, invité de Malika Ménard. Il se confie sur ses "Souvenirs d’écolier".
Dans les écoles d’ingénieurs, moins d’un étudiant sur trois est une femme selon le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. À l’occasion de la première édition des Assises nationales de la féminisation des métiers et filières numériques, initiée par Femmes@Numérique et l’ensemble de ses partenaires, Philippe Dewost, directeur général de l’école des ingénieurs en informatique (EPITA), décrète "l’état d’urgence sur les vocations féminines". Selon lui, il faut accompagner les femmes et leur permettre d’intégrer les carrières numériques dans lesquelles elles excellent.